Le duel du chevalier est la 6ème mission de l'Histoire personnelle des Sylvaris, pour les joueurs ayant choisi le Chevalier d'émeraude comme quête dans leur Biographie.
Mettre un terme aux cruautés de Bercilak.
- Chercher Bercilak au Marché de Mabon.
- Vaincre Bercilak. Définitivement.
Parler avec l'Arbre clair.
- Visiter la Chambre d'Omphalos.
Récompenses communes[modifier]
Récompenses spécifiques à la profession[modifier]
- Alliés
Le luminaire de votre cycle :
- Aife (cycle de l'Aube)
- Ennemis
Caithe fait signe de la main et indique le chemin à suivre au joueur qui vient d'arriver au Marché de Mabon. Une fois que la zone où Bercilak se trouve est atteinte, deux chemins sont possibles selon la mission précédemment accomplie :
- Si le joueur a choisi avez choisi Le marteau et l'acier, Bercilak commente le port du marteau et prétend que cela ne suffira pas pour le battre.
- Si le joueur a choisi Le cœur a ses raisons, Gairwen charme Bercilak, l'embrasse et lui vole son casque.
Une fois Bercilak vaincu, le joueur retourne au Bosquet pour une audience avec l'Arbre clair, en présence de Caithe et du Luminaire, afin de conclure le premier chapitre de l'histoire personnelle.
Le Marteau d'Occam[modifier]
Si la mission choisie précédemment était Le marteau et l'acier, l'arme du joueur se change en marteau d'Occam. Les compétences sont les suivantes :
En arrivant au Marché[modifier]
Si la mission Le cœur a ses raisons a été complétée
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- Caithe
- Suivez-moi.
- Eclaireuse des Protecteurs
- Erigez des défenses. Nous devons défendre cette position.
- Rôdeur des Protecteurs
- Les plantes sont nerveuses ici. C'est mauvais signe.
- Rôdeuse des Protecteurs
- Prenez une position de défense.
- Gairwen
- Je combats en votre nom, mon cher amour perdu.
- Gairwen
- Sire Bercilak, je regrette. J'étais aveuglée, mais à présent je vois que... que je vous aime vraiment.
- Bercilak
- Oui, tu as été stupide. Je suis celui qu'il te faut. Dis-moi que tu m'aimes, Gairwen. Prosternes-toi à mes pieds, et je te pardonnerai.
- Gairwen
- Je vous aime ? Je... embrassez-moi. Vite, avant d'engager ce duel, scellons votre... euh, notre amour.
- Bercilak
- Avec toi à mes côtés et le pouvoir des Cauchemars, nous pourrons...
- Qu'est-ce que vous faites ? Rendez-moi ça !
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Si la mission Le marteau et l'acier a été complétée
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- Occam
- Tenez. J'ai forgé l'armure avec ce marteau. Il conviendra.
(Les armes du joueur sont changées et il est équipé du marteau d'Occam)
- Caithe
- Excellent. Ça fera une arme merveilleuse. Nous pourrons arrêter Bercilak une fois pour toutes.
- Occam
- Pas seulement l'arrêter, l'écraser ! Bonne chance.
• En parlant à Caithe[modifier]
Occam dit que son marteau pourrait aider à vaincre Bercilak. Tout me porte à le croire.
- Espérons qu'il ait raison.
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(Uniquement si le joueur s'approche des différents PNJs)
- Éclaireuse des Protecteurs
- Érigez des défenses. Nous devons défendre cette position.
Éclaireuse des Protecteurs salue <Nom du personnage>
- Rôdeur des Protecteurs
- Préparez-vous.
Rôdeur des Protecteurs fait un signe de la main à <Nom du personnage>
- Rôdeuse des Protecteurs
- Prenez une position de défense.
Conversation avec le marchand caromi[modifier]
Une petite minute ! Vous ne pouvez pas vous battre à l'extérieur de mon échoppe. C'est mauvais pour les affaires.
- Reculez, voyons. Il faut arrêter Bercilak avant qu'il ne blesse qui que ce soit d'autre.
- Très bien. Faites ce que vous voulez, mais ne blessez pas mes clients !
- Veillez-y.
- Faites entrer ces badauds à l'intérieur pour éviter que quelqu'un soit blessé.
- Bonne idée. Les blessures, c'est mauvais pour les affaires.
- Entre autres. Au revoir.
- Et si tout se passe bien, vous pourriez tirer profit de la situation. Protégez ces gens et ils vous seront fidèles ensuite.
- Ça alors... c'est une excellente idée. Oui, oui, je vais faire ça !
- Veillez-y.
- Je ne suis pas là pour vous. Je suis là pour lui. Hors de mon chemin.
Avant le combat contre Bercilak[modifier]
(si vous avez accompli Le cœur a ses raisons)
- Gairwen
- Malgré ta puissance, tu n'es qu'un monstre. Tu ne comprendras jamais l'amour... et tu ne le mériteras jamais.
- <Nom de votre personnage>
- Bien dit ! Je m'occupe du reste.
- Bercilak, ton armure magique ne t'aidera plus à tricher. Affronte-moi à la loyale, et nous verrons qui l'emportera cette fois.
- Bercilak
- Gariwen, misérable vermine ! Tu penses vraiment que j'ai besoin de mon armure magique pour gagner ? Tu vas voir !
- Rendez-vous ! Laissez les cauchemars envahir votre esprit, et je vous laisserai peut-être vivre.
(si vous avez accompli Le marteau et l'acier)
- <Nom de votre personnage>
- Bercilak ! Es-tu prêt à te battre, cette fois ?
- Bercilak
- Une pousse minable comme toi ne me vaincra jamais. Mais je vais tout de même te donner une dernière leçon... de douleur.
- <Nom de votre personnage>
- La dernière fois, ton armure enchantée a déséquilibré le combat. Affronte-moi loyalement, et nous verrons qui est minable.
- Bercilak
- Le marteau d'Occam ? (rires). Tu penses vraiment que j'ai besoin de mon armure magique pour gagner ? Tu vas voir !
Pendant le combat contre Bercilak[modifier]
- Villageois 1
- Evart était aussi mon ami. Vengez-le, Vaillant(e) !
- Bercilak
- Rendez-vous ! Laissez les cauchemars envahir votre esprit, et je vous laisserai peut-être vivre.
- Villageoise
- Cette vermine a tué mon ami ! Tuez-le, Vaillant(e) !
- Gairwen
- Vous avez le contrôle de l'étage supérieur. Gardez-le !
- Villageois 2
- Bercilak ne mérite que la mort ! Pour l'Arbre clair !
- Éclaireur des Protecteurs
- Les plantes sont nerveuses ici. C'est mauvais signe.
- Bercilak
- Vous ne pouvez pas me vaincre... Comment est-ce possible ? Je vais tous vous tuer !
- Caithe
- Attendez, on doit être sûrs... Enfin, il est bien mort. Bercilak n'est plus.
Après le combat contre Bercilak[modifier]
(si vous avez accompli Le cœur a ses raisons)
- Gairwen
- Je n'aurais jamais cru qu'on puisse vaincre Bercilak. La justice me paraît bien vaine sans mon amour à mes côtés. Mon cher Evart. Que faire à présent ?
- <Nom de votre personnage>
- Pleurer n'apporte que davantage de chagrin. Gairwen, la Spirale de Morgan est dangereuse pour les vivants. Le tombeau d'Evart n'est plus menacé. Pourquoi ne rentrerais-tu pas au Bosquet ? Tu pourras vivre chez moi tant que tu le voudras.
- Gairwen
- Tu as déjà tant fait pour moi ! Mais oui, je m'y sentirais en sécurité, et Evart ne voudrait pas que je reste seule. Merci.
- <Nom de votre personnage>
- Je suis heureux/se que ces ravages s'achèvent, et que les nouveaux éveillés ne soient plus à la merci des cruautés de Bercilak.
- Caithe
- La Cour des Cauchemars trouvera un autre moyen d'attirer le Rêve vers l'obscurité. Faolain aime à entretenir le malheur.
- <Nom de votre personnage>
- On dirait que tu as déjà un lourd passé avec la Cour et cette grande duchesse Faolain.
- Caithe
- Je l'ai connue, autrefois... mais elle a bien changé. Peu importe. Vous avez bien agi, Vaillante. Savourez ce moment. Comme toutes les victoires, il ne durera pas.
Venez. Comme Gairwen, nous ne devons pas nous appesantir sur le chagrin. Une image de votre Rêve a été résolue, mais l'autre, le Dragon, demeure. Il est temps de parler à l'Arbre clair.
(si vous avez accompli Le marteau et l'acier)
- Occam
- Victoire ! Ainsi, il est possible de vaincre la Cour des Cauchemars.
- <Nom de votre personnage>
- N'abandonne jamais, Occam. D'ailleurs, je crains que la Cour des Cauchemars ne s'en prenne à toi pour produire plus d'armures. Veux-tu venir vivre avec moi au Bosquet ? Tu y serais plus à l'abri.
- Occam
- Avec tout mon respect, je préfère éviter. Trop de bruit. Tu m'as appris à les combattre. A présent, je le ferai.
- Gairwen
- Je vais peut-être accepter ta proposition. Je pleure encore la perte de mon amour, mais je ne puis rester éternellement près de sa tombe.
- <Nom de votre personnage>
- Pleurer seule n'apporte que plus du chagrin. Tu seras la bienvenue, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Tu y seras en sécurité.
- Caithe
- En sécurité ? La grande duchesse trouvera bientôt un moyen d'attirer le Rêve vers les ténèbres, et alors aucun de nous ne sera à l'abri. C'est ainsi qu'elle fonctionne.
- <Nom de votre personnage>
- On dirait que vous partagez déjà un lourd passé avec cette grande duchesse Faolain. La connaissez-vous bien ?
- Caithe
- Autrefois, oui... mais elle a changé. Peu importe. Vous avez bien agi, Vaillant(e). Savourez ce moment. Comme toutes les victoires, il passera.
Venez. Comme Gairwen, nous ne devons pas nous appesantir sur le chagrin. Une image de votre Rêve a été résolue, mais l'autre, le Dragon, demeure. Il est temps de parler à l'Arbre clair.
En discutant avec Caithe après le combat[modifier]
Bercilak est mort et c'en est fini de sa misérable tyrannie. Quand vous aurez fini de célébrer cette victoire, venez me voir au Bosquet et nous irons porter la nouvelle à l'Arbre clair.
- Que va-t-il advenir de l'armure de Bercilak, maintenant ?
- Je vais la détruire. Cette armure a été imprégnée par le Cauchemar. Son existence est intolérable.
- Bien. A bientôt.
- Je vous retrouve là-bas.
Conversation avec Gairwen[modifier]
Repose en paix, Evart. Tu es vengé et me voilà enfin en sécurité. Merci, <nom de votre personnage>. J'ai hâte de retourner dans le Bosquet.
- Portez-vous bien, Gairwen.
Conversation avec Dagdar[modifier]
Inouï ! Oh, quel soulagement. Maintenant, tous les Sylvaris fraîchement éveillés sont hors de danger... et grâce à vous, <nom de votre personnage> !
- C'est un honneur pour moi de protéger les enfants de l'Arbre clair.
Conversation avec Eladus[modifier]
C'était fantastique. Dagdar a failli me casser la main tellement il la serrait fort ! Nous sommes tous deux très fiers de vous, vous savez.
- Je vous souhaite bonne chance à tous les deux.
Conversation avec une citoyenne[modifier]
Vous avez réussi ! Vous avez vaincu Bercilak le Vert ! Oh, merci !
- De rien, mademoiselle.
Conversation avec un marchand ou un citoyen[modifier]
Vous êtes aussi incroyable qu'on le dit. Merci.
- C'est un soulagement de savoir qu'il ne pourra plus faire de mal à personne.
Conversation avec l'Arbre clair[modifier]
- Avatar de l'Arbre
- Salutations, noble enfant. Caithe m'a fait part de tes exploits. Je suis si fière de toi.
- <Nom de votre personnage>
- C'est un honneur de vous rencontrer, Arbre mère. J'ai rêvé d'un chevalier vert, et quand j'ai rencontré Bercilak, je savais que je devais le vaincre. Est-ce grâce à vous ?
- Avatar de l'Arbre
- Non, cher cœur vaillant. Je ne contrôle pas le Rêve, je ne suis que sa gardienne.
- Aife/Niamh/Kahedins/Malomedies (selon le Cycle de votre personnage)
- Si vous le permettez, Mère, nous aimerions placer le heaume de Bercilak dans notre jardin. J'espère que cela rappellera à d'autres de ne pas succomber à l'orgueil des Cauchemars.
- Avatar de l'Arbre
- Excellente suggestion. Que la leçon soit que la force du cœur vaincra toujours celle du bras.
- <Nom de votre personnage>
- Si vous me permettez cette question, Mère... dans mon rêve, j'ai aussi vu un horrible dragon enragé. On m'a dit que ma Grand-chasse serait d'affronter ce monstre. Est-ce vrai ?
- Avatar de l'Arbre
- Je le crains. La Grand-chasse est un événement sacré, un fardeau conféré par le Rêve aux plus forts et aux plus courageux de mes enfants.
Dans ton Rêve, tu affrontais un Dragon ancestral en face à face. Seuls deux de mes enfants ont fait ce rêve. Toi et Caithe.
Tous les Sylvaris affrontent les serviteurs du Dragon, les morts-vivants, mais je crois que tu affronteras Zhaïtan lui-même. Je crois aussi que tu le vaincras.
- <Nom de votre personnage>
- Je comprends, Mère. Merci.
- Aife (si votre personnage est du Cycle de l'Aube)
- Vaillant(e), vous pouvez considérer votre victoire avec fierté. Pour l'heure, reposez-vous. La nouvelle aube apportera de nouvelles aventures.
- Kahedins (si votre personnage est du Cycle du Crépuscule)
- Tirez fierté de votre victoire, Vaillant(e). Passez vos loisirs en apprentissage et en réjouissances bien méritées.
- Avatar de l'Arbre
- Caithe, j'aimerais présenter notre Vaillant(e) à mon premier enfant.
- Caithe
- Trahearne est rentré d'Orr ? Mère, est-ce bien avisé ?
- Avatar de l'Arbre
- Ne doute pas du Rêve. Nous devons jouer notre rôle.
- Caithe
- Oui, Arbre mère. Je vais organiser la rencontre.
En discutant avec Caithe à la fin de l'instance[modifier]
Vous n'avez pas démérité, Vaillant(e). Un jour, nous formerons une alliance redoutable contre Zhaïtan.
- Pouvez-vous m'en dire plus sur Zhaïtan ?
- C'est le dragon mort-vivant qui siège au cœur d'Orr, la contrée maudite. Seules deux créatures vivantes l'ont vu de leurs yeux... moi et mon frère, Trahearne.
- Vous pouvez m'en dire plus sur Trahearne ?
- C'est un autre des Premiers-nés. Sa Grand-chasse l'attire aussi à Orr, même sil[sic] n'a pas rêvé d'affronter le dragon.
- De quoi a-t-il rêvé, si ce n'est du combat ?
- Dans son rêve, il a vu Orr tel qu'il était jadis... vivant et luxuriant de végétation. Un rêve impossible. La corruption du dragon est impossible à purger.
- Je vois... Puis-je vous poser une autre question ?
- Effrayant. Merci d'avoir partagé votre savoir avec moi.
- Je vais y réfléchir. Merci.
- Vous avez vu Zhaïtan ?
- Oui. Il est plus grand que vous ne pouvez l'imaginer, et sans cesse affamé... Il est la mort incarnée. Ne m'en demandez pas plus.
- Je comprends. Je peux vous poser une autre question ?
- Merci de m'en avoir parlé.
- Pourrais-je rencontrer Trahearne ?
- Oui. Je l'ai fait informer de votre Rêve. A l'heure qu'il est, il est en route pour le Bosquet.
- Parfait. Je peux vous poser une autre question ?
- J'ai hâte. Merci.
- Merci. C'est tout ce que je voulais savoir pour l'instant.
- Merci de m'accorder votre confiance, Première-née.
En discutant avec l'Arbre clair à la fin de l'instance[modifier]
Je suis si fière de vous, mon enfant. Et ce n'est que le commencement.
- Êtes-vous vraiment l'arbre que je vois tout autour de moi ?
- En effet, mais j'ai pris cette apparence pour que nous puissions nous entretenir, vous et moi.
- Ravi(e) de vous rencontrer, Mère.
- Que pouvez-vous me dire sur Zhaïtan ?
- C'est une force maléfique puissante. Vous avez déjà affronté ses serviteurs morts-vivants sur nos rivages.
- Caithe et moi avons rêvé de combat contre cette horreur. Cela va-t-il arriver ?
- Votre destin est de lutter pour l'avenir de la Tyrie. Zhaïtan sera le plus grand de tous les obstacles.
- Puis-je vous poser une autre question ?
- Je ferai de mon mieux, Arbre mère.
- Saviez-vous que je réussirais à vaincre Bercilak ?
- Pas exactement. Mais je savais que vous en seriez capable. C'est là l'inspiration du Rêve.
- Je vois. Puis-je vous poser une autre question ?
- Quelle perspective fascinante. Merci.
- Je vous ai entendue parler de Trahearne. Que savez-vous d'autre sur lui ?
- C'est un autre de mes Premiers-nés. Sa Grand-chasse, à l'instar de la vôtre, concerne la contrée d'Orr.
- C'est très intéressant. Puis-je vous poser une autre question ?
- Intéressant, très intéressant. Merci.
- Merci, Arbre clair. Je suis à votre service.
Fichier:Le duel du chevalier.jpg
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J'ai rencontré Bercilak au Marché de Mabon et ai exigé un nouveau duel. Cette fois, j'avais pris en compte l'avantage que lui donnait son armure. Bercilak n'est plus. Il ne fera plus de tort à quiconque.
J'ai conversé avec l'Arbre clair et je lui ai parlé de la défaite de Bercilak. Je lui ai demandé au sujet du Rêve. Sa réponse a été que seules deux Sylvaris ont jamais rêvé de se mesurer aux dragons : Caithe et moi-même. Je me demande ce que cela signifie...
L'Arbre mère m'a néanmoins témoigné sa fierté, ce qui m'encourage pour mes prochaines aventures.
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