Bandits geôliers
Bandits geôliers est la troisième mission de l'histoire personnelle d'un personnage humain né parmi la noblesse.
Fouiller la ferme à la recherche des personnes kidnappées.
- Retrouver Faren à la ferme dans la Vallée de la reine.
- Trouver les prisonniers.
- Libérez les prisonniers (Cellules ouvertes : X/3)
- Vaincre les bandits à vos trousses et escorter les prisonniers jusqu'en lieu sûr.
- Échappez-vous de la ferme.
Récompenses communes[modifier]
Récompenses spécifiques à la profession[modifier]
- Alliés
- Ennemis
En s'approchant du seigneur Faren, et en s'entretenant avec lui[modifier]
- Seigneur Faren
- Ces malfrats ont ruiné ta fête, il est temps de le leur faire payer. J'ai une bonne épée, de belles chaussures et un port de tête altier. De quoi d'autre aurais-je besoin ?
- <Nom du personnage>
- Ça y est, nous y sommes. Je suis heureux de t'avoir à mes côtés, mais rends-moi service... ne t'éloigne pas. Nous devons nous couvrir mutuellement.
- Seigneur Faren
- Ne t'inquiète pas pour moi. Bongo le borgne, le maître d'armes, a dit à mes parents que j'étais le meilleur de ses étudiants.
(Seigneur Faren) Pas le temps de faire causette, mon vieil ami ! Nous avons de braves gens à secourir et des malfrats à pourfendre !
- Ça, c'est bien vrai. Parlons peu, cognons bien.
En arrivant dans la grotte[modifier]
- Ravisseur bandit
- Tu es sûre qu'on ne risque rien ? On a abandonné pas mal de blessés... Ils pourraient parler.
- Ravisseuse
- Ils ne diront rien. Ils connaissent le sort réservé aux balances.
Après avoir éliminé les premiers bandits[modifier]
- Seigneur Faren
- Ça vous apprendra à kidnapper des gens qui vous sont supérieurs !
En avançant dans le repaire bandit[modifier]
- Artilleur bandit
- Un intrus ! Armez la tourelle !
- Tire-laine
- On a de la compagnie !
- Seigneur Faren
- Si je trouve une seule tâche de sang sur mes vêtements, bande de vauriens, je vous envoie la facture du teinturier !
- Malandrin
- Vous l'aurez voulu !
En arrivant au niveau des prisonniers[modifier]
- Éclaireur bandit
- Qu'est-ce que vous faites là, les bourges ?
- Kelly la Mitraille
- On dirait que quelqu'un est venu me faire la peau, les gars. Rendons-lui la pareille !
Avant de libérer les prisonniers[modifier]
- Enfant
- S'il vous plaît, j'ai besoin de votre aide !
- Noble
- J'ai besoin d'aide par ici !
- Villageoise (1)
- Aidez-nous !
- Serviteur en captivité
- S'il vous plaît, j'ai besoin de votre aide !
- Enfant
- Ce n'est qu'un cauchemar.. Çà ne peut être qu'un cauchemar...
- Villageoise (2)
- Par les Dieux ! Qu'allons-nous faire maintenant ?
- Villageoise (1)
- (pleure)
(Serviteur en captivité) Faites-moi sortir d'ici, je vous en prie ! Ces absurdités ne sont plus de mon âge.
- Tenez bon. Je vais vous sortir d'ici.
(Villageoise) Je peux attendre. Laissez ces malheureux sortir en premier. Je vous remercierai comme il se doit quand tout sera fini.
- Entendu. Je reviendrai vite.
Après avoir libéré les prisonniers[modifier]
- Serviteur en captivité
- Merci, du fond du cœur. A tous les deux. Je ne vous oublierai jamais.
- <Nom du personnage>
- Vous êtes toujours en danger. Rassemblez les autres et empruntez ce tunnel. Vous pourrez fuir via la ferme abandonnée.
- Seigneur Faren
- Et si vous croisez des jolies filles, dites-leur à qui vous devez la vie : au seigneur Faren... et à son acolyte !
- <Nom du personnage>
- Vous et les autres devez aller vous mettre en lieu sûr. Les remerciements sont superflus.
- Seigneur Faren
- Parle pour toi.
- Serviteur en captivité
- Avant que je ne parte, prenez ces documents. Je les ai pris aux bandits pendant ma détention. Ils font mention d'un "chef", au Promontoire divin. Ça peut vous aider ?
- <Nom du personnage>
- C'est cela. Merci. Veuillez vous retirer. Nous nous assurerons qu'il ne vous arrive rien.
(Noble) Il y a tellement de bandits, dans le coin !
- { Ne vous inquiétez pas. Nous sommes là pour vous sauver.
(Serviteur en captivité) Puisse Grenth écraser ces maudits bandits ! Enfermer des gens comme ils l'ont fait est un crime intolérable !
- { Vous serez bientôt libre. Asseyez-vous et restez calme.
'(Villageoise) Par les dieux, si mon cœur continue de s'emballer, la crise cardiaque me guette. Nous devons à tout prix sortir d'ici !
- { Du calme, je vous promets de revenir vous libérer.
Pendant la fuite[modifier]
- Seigneur Faren
- Vous devez aller par là !
- Éclaireuse bandit
- Tu crois qu'on va te laisser sortir d'ici en vie ? N'y compte pas !
- Seigneur Faren
- Dispersez-vous ! Il faut tenir cette position.
- Villageoise
- Protégez-moi !
- Seigneur Faren
- Et une pour ta Tata !
- Villageoise
- Ils viennent par ici ?
- Noble
- Par les Dieux ! Qu'allons-nous faire maintenant ?
- Malandrin
- Ne les laissez pas s'échapper !
- Villageoise
- A l'aide, je suis attaquée !
- Seigneur Faren
- J'irais me mettre à l'abri si j'étais vous.
Après être remonté dans la ferme, avec Logan Thackeray[modifier]
- Seigneur Faren
- Capitaine Thackeray ! Laissez-moi vous raconter notre incroyable aventure ! Mon ami(e) et moi avons triomphé de ces vermines avec panache. Vous arrivez juste à temps pour célébrer notre victoire.
- Logan Thackeray
- Quelle... surprise. Enfin, j'aurais dû savoir que le héros de Shaemoor allait réagir à votre enlèvement.
- <Nom du personnage>
- On n'attaque pas impunément mes amis. Et regardez cette lettre. Nous l'avons trouvée dans la grotte des bandits. Quelqu'un tire les ficelles depuis le Promontoire divin.
- Seigneur Faren
- Ce genre de parchemin n'est pas à la portée de toutes les bourses. Il y a un fabricant de papier, au comptoir, un certain Cin Fursarai... il est incroyablement pédant, mais je parie qu'il pourrait identifier ce document.
- <Nom du personnage>
- Capitaine Thackeray ? Laissez-moi parler au fabricant de papier. Je vais vous trouver ces informations, et personne ne saura que les Séraphins suspectent la présence d'un traître en ville.
- Logan Thackeray
- C'est un bon plan. Je vous remercie de votre aide, mais restez prudent. La personne qui se cache derrière tout ça ne reculera devant rien. J'attendrai de vos nouvelles en ville.
- Logan Thackeray
- J'essaierai de tenir Faren éloigné des ennuis entre ici et le Promontoire divin. Mais je ne peux rien promettre.
(Logan Thackeray) Faites attention à vous. Si Fursarai se trouve au comptoir, vous allez avoir de la route à faire. Méfiez-vous des Centaures.
- Entendu... merci.
(Soldat séraphin/Garde séraphine) Nous avons la situation en main, ici. Bonne chance pour votre mission.
- Merci.
(Seigneur Faren) Alors, tu vas donc voir Fursarai ? Bonne chance ! Ce type est aussi aimable qu'un écailleux souffrant d'une rage de dents.
- Tu ne vas pas venir avec moi ?
- Je ne vous serai pas d'un grand secours. Voyez-vous, j'ai euh... Il est possible que je l'aie... menacé par le passé. C'est une histoire bien sotte, mais j'imagine qu'il doit m'en tenir rigueur, aussi est-il plus sage pour moi de rester à l'écart.
- Bon, je dois entendre cette histoire.
- Eh bien, j'ai utilisé son papier pour envoyer une lettre anonyme à une charmante jeune fille... Par un mauvais concours de circonstances, cette lettre est tombée dans les mains de son fiancé. Il est allé voir Fursarai, qui m'a dénoncé !
- J'imagine que tu as dû avoir des mots avec lui, après coup.
- Après ce que le fiancé de la demoiselle a menacé de me faire, oui ! J'ai donc dit à Fursarai que j'allais le ligoter et le faire jeter aux ours. Évidemment, c'était du flan ! Mais on dirait qu'il a pris tout cela très au sérieux.
- Mon ami, tu accumules les initiatives désastreuses. A plus tard.
- Je sens que ça va mal finir. On se reparlera plus tard, Faren !
- Je reviendrai te parler de ça plus tard. A bientôt.
- Merci de tant de sollicitude. On se reverra plus tard.
|
“
Quand Faren et moi avons pénétré le repaire des bandits, l'effet de surprise jouait en notre faveur. Nous avons trouvé des prisonniers dans des cellules et les avons libérés. Un des prisonniers avait réussi à voler d'importants documents à un bandit, dont une lettre indiquant les futures attaques prévues. Le capitaine Thackeray voudra voir ces documents.
La lettre des bandits tracassait Thackeray. Il soupçonne l'auteur de faire partie de la noblesse. Il a remarqué que le papier était de qualité et m'a dit d'aller voir Cin Fursarai, un fabricant de papier qui travaille au comptoir.
— Onglet "Chroniques"
|