En plein bourbier
Chercher la deuxième partie de la clé dans le Bourbier des lamies.
- Suivre les jalons gravés sur les arbres.
- Repères trouvés : x/3
- Localiser le deuxième coffre.
Mettre le tribun Brimstone au fait de vos avancées.
- Parler au tribun Brimstone, dans son bureau au sommet du Cœur de l'Imperator.
- Annoncer à Brimstone que vous allez négocier avec les ferrailleurs.
Récompenses communes[modifier]
Récompenses spécifiques à la profession[modifier]
Un objet au choix selon votre profession :
Une fois à l'entrée du bourbier des lamies, la remontée de la piste vers le second coffre englouti contenant la dernière partie de la clé peut commencer. En examinant le tronc des arbres alentours, des gravures abîmées par le temps donnent facilement la direction à travers le marais au milieu de fantômes ascaloniens, de drakes à écailles et d'un minotaure perdu. La destination finale est le lac au pied des ruines de la Cité d'Ascalon. Le coffre protégé par un tyran marécailleux s'avère avoir déjà été visité. Ce qui conduit la troupe à retourner voir Rytlock pour faire un rapport et demander conseil.
Dans son bureau, Rytlock identifie rapidement les voleurs : un groupe de ferrailleurs. Il met en garde contre leur insubordination bien qu'ils fassent partie des Légions et laisse carte blanche pour reprendre la seconde moitié de la clé : soit par la négociation, soit par la force.
- Alliés
- Ennemis
Pendant la recherche des jalons[modifier]
Parler à Dinky
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Avant le premier jalon Qu'est-ce qu'on est censés faire de la moitié d'une clé ? Et d'abord, pourquoi quelqu'un irait fabriquer une demi-clé ? Il s'est arrêté au beau milieu, et il s'est juste dit : "Ça fera bien l'affaire" ?
- Détends-toi. L'autre moitié nous attend à l'autre bout de cette piste.
Apès le premier jalon Comment se fait-il que je n'arrive pas à lire ces symboles ? C'est une sorte de code "anti-Dinky" ?
- Ce sont de vieux jalons de piste. Plus personne ne les utilise à part la troupe de mon père.
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Parler à Luccia Grosœil
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Les marais et l'artillerie ne font pas bon ménage : ça vous mouille les mèches et la poudre, et les obus s'enfonce avant d'exploser. C'est du gâchis.
- Nous devrons affronter par nous-mêmes ce qui nous attend ici, voilà tout. Ouvrez l'œil.
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Parler à Zemzer Bradé
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Je m'en occupe, chef. J'ai droit à un bonus si je trouve le coffre en premier ?
- Je ne promets rien, mais celui qui conclu cette mission aura droit à une récompense.
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- Dinky
- Beaucoup d'arbres. C'est quoi ces machins qui flottent au milieu ? Ça éternue, un arbre ?
- Luccia Grosœil
- Les fantômes aiment prendre les gens par surprise, mais ça ne me dérange pas : j'ai l'habitude de ne pas entendre approcher l'ennemi.
Après le découvert du coffre[modifier]
En entrant dans le bureau de Rytlock Brimstone[modifier]
Parler à Dinky
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Encore du travail de bureau. Cet endroit me file des frissons. Finissons-en rapidement et retournons au front, d'accord ?
- Du calme, Dinky. Je n'en ai pas pour longtemps.
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Parler à Laria Vue-aiguisée
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Vous revoilà, Légionnaire. Le tribun Brimstone est impatient d'entendre votre rapport. De vous à moi, je pense qu'il se sent un peu à l'étroit ici.
- Bien, je vais le voir.
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- <Nom du personnage>
- Tribun ? Au rapport. J'ai déniché une moitié de la clé de mon père, mais l'autre a été volée. Les forbans manquaient de subtilité. La serrure a été brisée.
- Rytlock Brimstone
- Hum. Je parie que je connais les responsables. Des ferrailleurs sévissent ici. On dirait leur œuvre.
- <Nom du personnage>
- Des ferrailleurs ? De vils pilleurs. Savez-vous où je peux les trouver ?
- Rytlock Brimstone
- Pas vraiment. On m'a dit qu'un groupe a migré du bourbier des lamies vers le Refuge de Porticharr. À votre place, je commencerais par là.
- Mais attention, les ferrailleurs sont la lie des légions. Ils ne respecteront votre grade que si ça vaut le coup... ou si vous les y obligez.
- À mon avis, vous devrez soit les gagner à votre cause, soit les battre. Les deux me vont. Quelle est votre préférence ?
Après avoir fait un rapport à Rytlock Brimstone[modifier]
Parler à Dinky
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Bon, et maintenant ? Les ferrailleurs ne sont quand même pas assez idiots pour vouloir nous affronter.
- Je n'ai pas encore décidé. Et le tribun veut en être le premier informé.
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Comment comptez-vous régler la question ?
- Parlez-moi des ferrailleurs et de ce qu'ils font.
- Les ferrailleurs vaquent aux basses besognes. Ils sont trop stupides, indisciplinés ou estropiés pour servir au front. On les cantonne aux basses corvées qui dégoûteraient les véritables soldats : la récupération, les travaux de force, le nettoyage des enclos...
- C'est bon à savoir. J'ai un plan.
- Laissez-moi y réfléchir.
- L'approche directe. Ils m'ont dépouillé de mon bien. Je leur reprendrai. (Conduit à Pas de négociations)
- Ha ! Je n'envie pas celui qui s'opposera à vous. Envoyez votre troupe à votre rencontre, aux abords du Refuge de Porticharr. Je dirai à vos soldats de se tenir prêts au combat.
- Merci. Je vous ferai savoir comment ça évolue.
- Je ne veux pas risquer d'égarer la clé dans un combat. Je négocierai avec eux (Conduit à Récupération)
- Je n'ai pas encore pris ma décision. Laissez-moi y réfléchir.
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“
J'ai exploré le Bourbier des lamies, mais quelqu'un m'a devancé : la deuxième moitié de la clé avait disparu. Quiconque s'en est emparé a forcé le coffre. Je retourne auprès du tribun Brimstone; peut-etre a-t-il quelque conseil.
Le tribun Brimstone subodorait qu'une troupe de ferrailleurs s'était emparé de la deuxième moitié de la clé qui appartenait à mon sire. Sur son conseil, je me suis rendue au Refuge de Porticharr pour les retrouver et reprendre ce qui m'appartient de droit.
— Onglet "Chroniques"
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