Bienvenue à la maison
Bienvenue à la maison est la deuxième mission de l'histoire personnelle d'un personnage humain né parmi la noblesse. Elle consiste à amèner le joueur auprès de son ami, le Seigneur Faren.
Retrouver Faren au Promontoire divin. Découvrir pourquoi il cherche à vous voir.
- Parler à Faren
- Profiter de la fête. Parler à Faren plus tard.
- Triomphez des bandits.
- Trouver et sauvez Faren.
Récompenses communes[modifier]
Récompenses spécifiques à la profession[modifier]
- Alliés
- Ennemis
En s'approchant du Seigneur Faren[modifier]
- Seigneur Faren
- Par ici !
Seigneur Faren fait un signe de la main à <Nom du personnage>.
En arrivant dans le quartier de Salma, avec le Seigneur Faren[modifier]
- Seigneur Faren
- Ah, le héros de Shaemoor ! Viens voir un peu ce que les amis et les voisins ont préparé pour fêter ton retour !
- <Nom du personnage>
- Une fête, Faren ? Pour moi ? Ou bien c'était juste un prétexte pour inviter tes amis et piller ma cave à vin ?
- Seigneur Faren
- Tu vois le mal partout ! Les héros sont populaires. Tout ce beau monde tenait juste à te féliciter et à célébrer ton exploit avec toi.
- <Nom du personnage>
- Et tu as insisté pour qu'on pille mes réserves de nourriture et de boisson pour l'occasion.
- Seigneur Faren
- C'est bien normal, non ? Mais je dois avouer que j'ai été bien aidé... Tes domestiques se sont empressés de me faciliter les choses.
- J'aimerais que mes serviteurs m'aiment autant que les tiens. Enfin, les femmes, elles, m'adorent...
- <Nom du personnage>
- J'ai déjà trop entendu parler de tes dons de séducteur. Maintenant, efface-moi ce sourire idiot et va donc profiter du rôti de canard.
En s'approchant de Wozmack le Magnifique, et en interagissant avec lui[modifier]
- Wozmack le Magnifique
- Approchez, approchez tous ! Et laissez vos yeux s'émerveiller !
- Ah ! La vedette de la soirée ! Mesdames et Messieurs, je vous présente le héros de Shaemoor ! Ouvrez grand les yeux !
Wozmacl le Magnifique
Ah, vous voilà. Faren m'a bien précisé que je ne devais en aucun cas commencer ma représentation avant que vous ne soyez arrivé. Voulez-vous me voir à l’œuvre ?
- Oui, je vous en prie, commencez !
- Non, pas pour l'instant.
- Wozmack le Magnifique
- Approchez, approchez ! Mais pas trop près... mes tours sont aussi dangereux qu'ils sont audacieux !
- Et maintenant, préparez-vous à être transportés... hors de vos chaussures !
- Attention !
- Du feu ! Dans mes mains !
- Oups ! Pardonnez-moi, cher public ! Celle-ci m'a échappé. Mais, en toute objectivité, ce tour était quand même très réussi ! Merci !
- Mon prochain tour va vous couper le souffle !
- Regardez ! Une lumière magenta... très diffuse ! Hé, les gars ! Je travaille, moi !
- Certains magiciens se contentent d'invoquer une unique colombe... Mais moi, je vais en faire apparaître toute une volée devant vos yeux ébahis !
- Attention !
- Ah ! Mes yeux ! Que quelqu'un les abatte !
- Aidez-moi ! Oh ! Ce ne sont que des illusions. C'est le lot de tout maître magicien, mes amis. Parfois je me surprends moi-même !
- Et maintenant, préparez-vous à assister au plus grand exploit jamais réalisé par un magicien... et auquel il a survécu !
- Observez attentivement. Je ne pourrai réaliser ce tour qu'une seule fois.
- Attention !
- Alakazam ! Heu... Alakazoum ! Non, ce n'est pas ça. Alakazap ? Je suis certain que ça commence par Alaka... Alakaboum ?
En s'approchant du Baron Corone et du Baron Edmonds, et en interagissant avec eux[modifier]
Baron Corone fait un signe de la main à <Nom du personnage>.
- Baron Corone
- Voici le héros de Shaemoor ! Je vous en prie, racontez-nous l'un de vos palpitants exploits !
Baron Edmonds/Baron Corone
Le héros de Shaemoor ! Nous avons entendu parler de l'attaque des Centaures. Racontez-nous tout !
- C'était moche, mais ensemble, nous sommes parvenus à nous en tirer.
- Faren dit que vous avez servi aux côtés de Thackeray. C'est vrai ?
- Oui. Il a été à la tête des défenseurs de la garnison. Ensemble, nous avons repoussé les Centaures.
- Baron Corone
- Eh bien... Je porte un toast à votre santé ! Avoir l'occasion de combattre un jour à vos côtés serait pour moi un honneur.
- Lorsque ce temps sera venu, je serais honoré de combattre à vos côtés.
- Merci. Sur ce, si vous voulez bien m'excuser.
Baron Edmonds salue <Nom du personnage>
Baron Corone salue <Nom du personnage>
En s'approchant du banquet, et en interagissant avec les invités[modifier]
Seigneur Benjamin porte un toast à <Nom du personnage>.
- Seigneur Benjamin
- Voici le héros de Shaemoor ! Venez boire un verre avec vous !
Baronne Jasmina
Cette fête est formidable, mais je ne vais pas pouvoir m'y éterniser. La manière dont le seigneur Faren tente de monopoliser mon attention m'a épuisée.
- Quel dommage. Merci d’être venue.
Ministre Zamon
Vous avez fait du bon travail. Un peu d'escrime, quelques bouteilles de cognac bon marché et un ego disproportionné... voilà tout ce qu'il faut pour transformer un noble en héros.
- Alors vous êtes déjà pratiquement un héros, seigneur. Il ne vous manque plus que le brandy et quelques cours d'escrime.
Seigneur Benjamin
La magie et la musique, c'est bien joli, mais où sont les véritables divertissements ? Les combats de chiens ? Les lâchers d'ours ? Les victoires militaires appellent les sports d'arène.
- Ces horreurs n'ont pas cours chez moi. Et si vous voulez rester, je vous conseille de ne plus y faire allusion.
Dame Madeline
Quelle joie de sortir s'amuser ! Entre les Centaures, la santé fragile de Mère et... disons d'autres soucis, je passe le plus clair de mon temps à m'inquiéter.
- Maintenant que votre moral est de nouveau au beau fixe, je dois vous laisser.
Dame Mashewe
Puisse Dwayna bénir le capitaine Thackeray pour vous avoir sauvé la vie. Vous semblez en pleine forme !
- Merci, très chère. Votre sollicitude me va droit au cœur.
- Je n'étais pas la seule à me ronger les sangs. Vous avez de nombreux amis, qui vous estiment au plus haut point. Mère a même prié pour vous !
- Mes amitiés à votre mère. Amusez-vous bien.
Baronne Yolanda
(Avec un personnage masculin)
Vous revoir sain et sauf me réchauffe le cœur, seigneur. Dwayna a su vous protéger. Grâce lui en soit rendue. Vous êtes aussi courageux que vous êtes charmeur.
- Je vois que vous n'avez rien perdu de votre talent pour la flatterie, baronne.
- Vous devez tout me raconter. Ne soyez pas timide, approchez donc.
- Mes excuses, Baronne. Je dois m'entretenir avec une connaissance. Essayez de profiter de la fête.
- Merci beaucoup. Que s'est-il passé en mon absence ?
- Nous vivons des heures sombres. La Garde du Ministère fait de son mieux pour nous protéger, mais les Séraphins sont incroyablement laxistes. Les Centaures grouillent à l'extérieur de la ville, et les voleurs pullulent en ses murs !
- C'est malheureux. Excusez-moi, je dois me mêler aux convives. Amusez-vous bien, Baronne.
(Avec un personnage féminin)
Voici l'héroïne du jour ! Mais pourquoi ce Faren compte-t-il au nombre de vos fréquentations ? C'est un bon à rien. Et maintenant, racontez-moi un peu cette rencontre avec Logan Thackeray.
- Disons que les attaques incessantes des Centaures ont souvent écourté nos conversations.
- Vous a-t-il souris ? Est-il aussi charmeur qu'on le dit ? Ooooh, et a-t-il quoi que ce soit concernant la reine Jennah ?
- Difficile de faire plus commère que vous. Mais je ne vous apprends rien, n'est-ce pas ?
- Quoi qu'il en soit, très chère, c'est un plaisir de vous revoir en si bonne forme. Sans vous, ces fêtes sont d'un ennui mortel.
- Merci, veuillez m'excuser.
- Oh non, rien de tout cela. Pardonnez-moi, je dois reprendre part aux festivités.
- Je me soucie plus des Centaures que du seigneur Faren, pour tout dire.
- Quoi qu'il en soit, très chère, c'est un plaisir de vous revoir en si bonne forme. Sans vous, ces fêtes sont d'un ennui mortel.
- Merci, veuillez m'excuser.
Invitée
Quel plaisir de vous revoir dans les parages. Nous avons entendu dire que la bataille de Shaemoor avait été un véritable cauchemar.
- Merci de votre sollicitude. C'est un plaisir de vous voir.
En parlant à Faren, après avoir profité de la fête[modifier]
Eh bien, mon ami(e), vous avez assez fait la fête ?
- Oui, je crois que j'en ai assez.
- Je commence à m'ennuyer. Je vais annoncer notre départ aux serviteurs.
- Ça me va. Merci.
- Après mûre réflexion, je crois que je vais continuer de faire la fête. Excusez-moi.
Lorsque des cris se font entendre[modifier]
- Seigneur Faren
- Ne me touchez pas avec vos sales pattes ! Au secours ! A l'assassin !
- Noble
- (hurle)
- Des bandits !
Après avoir vaincu les premiers bandits[modifier]
Servante acclame <Nom du personnage>
Baron Edmonds acclame <Nom du personnage>
Serviteur acclame <Nom du personnage>
Baron Corone acclame <Nom du personnage>
- <Nom du personnage>
- J'ai entendu Faren crier. Où est-il ?
- Serviteur
- J'ai vu ces brutes le traîner en descendant la rue. Ils vont le tuer !
- <Nom du personnage>
- Calmez-vous. Allez vérifier auprès des invités que personne d'autre n'a été blessé. Je vais aller chercher le seigneur Faren.
- Baron Edmonds
- Ne vous inquiétez pas, on s'occupe de tout. Retrouvez Faren !
- Baron Corone
- Retrouvez le Seigneur Faren, on s'occupe du reste.
En retrouvant la maison où Faren est retenu captif[modifier]
- Bandit sanguinaire
- Bientôt, vous me supplierez de vous tuer.
- Seigneur Faren
- J'ai besoin d'aide par ici !
Après avoir retrouvé Faren[modifier]
- Seigneur Faren
- Hé, merci, je me sens beaucoup mieux.
Seigneur Faren s'incline avec révérence devant <Nom du personnage>.
- Seigneur Faren
- Quel plaisir de te voir ! Cela dit, pour me mettre dehors, un simple "Dégage, pique-assiette !" aurait suffit.
- <Nom du personnage>
- C'est bien noté. Tu as la moindre idée de qui étaient ces malfrats ou de ce qu'ils voulaient ?
- Seigneur Faren
- Pas vraiment. Je les ai entendus parler d'une ferme à Shaemoor. Ils comptaient m'enfermer là-bas avec le reste de leurs otages.
- <Nom du personnage>
- Alors j'ai encore du boulot. Je ne peux pas te sauver et laisser les autres mourir. Ce serait lamentable.
- Seigneur Faren
- J'en suis. Je ne suis peut-être pas une machine à débiter du Centaure comme toi, mais je peux me débrouiller. Je te retrouve là-bas.
En s'entretenant avec le Seigneur Faren[modifier]
J'ai été secoué, frappé et traîné à terre, mais je garde le sourire malgré tout. J'ai toujours su que vous viendriez me trouver. Ces bandits sont horribles !
- Que voulaient-ils ? Ont-ils dit quelque chose pour expliquer leur attaque ?
- Cela fait des mois que les bandits envahissent la campagne autour du Promontoire divin, mais je ne m'attendais pas à une attaque aussi audacieuse. Ils ont de plus en plus de penchants politiques, et leur soif de sang ne tarit pas non plus.
- Les bandits ont des penchants politiques ?
- Ils combattent la reine. Enfin, la reine, la civilisation, l'autorité et la bière renversée. Ils se rebellent contre tout ce qu'ils n'aiment pas et, ces temps-ci, ils n'aiment pas grand-chose.
- Vous avez dit qu'ils étaient aussi de plus en plus assoiffés de sang. Comment ça ?
- Il faut arrêter ces bandits avant qu'ils ne fassent encore du grabuge. J'y veillerai.
- Assoiffés de sang ? Y a-t-il eu d'autres attaques ?
- Avant, les bandits se contentaient d'attaquer les caravanes situées loin des villes. Puis des petits hameaux et des maisons isolées. Récemment, ils se sont mis à piller des villages tels que Shaemoor et Beetletun. Et maintenant, les voilà en ville ! C'est atroce.
- Et tout ça pour des raisons politiques ?
- Je m'occupe des bandits, n'ayez crainte.
- Je m'occupe des bandits, n'ayez crainte.
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Quand l'élémentaire de terre a explosé, les débris projetés m'ont infligé de graves blessures. J'ai repris connaissance grâce aux bons soins d'une prêtresse de Dwayna. Celle-ci m'a aimablement signalé que mon ami Faren m'avait rendu visite. Mais avant de pouvoir le voir, j'ai dû payer ma dette en protégeant les fermiers de Shaemoor. Ils avaient besoin de mon aide, mais j'ai désormais hâte de rentrer chez moi en ville.
A mon retour, il y avait une fête en mon honneur. Une fête dont les bandits ont hélas profité... pour capturer mon ami Faren. Je les ai rattrapés et ai sauvé Faren avant qu'ils ne le fassent sortir de la ville. Faren a dit avoir entendu les bandits qui parlaient d'une cachette sous une ferme abandonnée de Shaemoor.
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