La fête du ministre
La fête du ministre est la cinquième mission de l'histoire personnelle d'un personnage humain né parmi la noblesse.
Récupérer des informations au sujet de Zamon pendant la fête.
- Retrouver la comtesse Anise dans le quartier de Rurikton, au promontoire divin
- 0/3 Preuves récupérées à la fête
Récompenses communes[modifier]
Récompenses spécifiques à la profession[modifier]
Les trois personnes à interroger sont le seigneur Faren, dame Madeline et la sentinelle Reth (qui se trouve à l'étage).
- Alliés
En arrivant devant la villa du ministre Wi[modifier]
- Comtesse Anise
- Ce sera un plaisir. Moi, en compagnie du héros de Shaemoor ; les commères auront de quoi parler.
- <Nom de votre personnage>
- Merci pour votre invitation, comtesse.
- Comtesse Anise
- Je suis toujours prête à faire ce qu'il faut pour ma reine et mon pays. Maintenant, laissez-moi vous donner quelques conseils.
D'abord, allez au devant des gens. Parlez à tout le monde. Qui sait combien de confidences regrettables pour leurs auteurs vous pourriez glaner ainsi.
Ensuite, ne parlez pas qu'aux nobles. Les gardes et les serviteurs voient tout.
- <Nom de votre personnage>
- Compris. Évidemment, je suppose que je vais devoir garder ça pour moi ?
- Comtesse Anise
- Vous comprenez vite. Allez donc charmer la bonne société. Vous savez où me trouver si vous avez besoin de moi.
En parlant à un Garde du Ministère, à l'entrée[modifier]
Bienvenue. Puis-je faire quelque chose pour vous ?
- Il y a pas mal de gardes dans le coin, ce soir. Tout va bien ?
- Absolument. Il n'y a pas d'endroit plus sûr au Promontoire divin, en dehors du Palais royal.
- Pourquoi un tel dispositif de sécurité, si je puis me permettre ?
- Vous avez parlé à ce triste sire de Reth ? Ce n'est pas la peine. C'est la procédure de sécurité habituelle pour un événement de cette importance.
- Je vois. Où puis-je trouver des rafraîchissements ?
- Merci pour ces renseignements.
- Où puis-je trouver des rafraîchissements ?
- Puissent les dieux nous protéger des calamités ! Heureusement, nous sommes en sécurité ici. Au revoir.
- Où puis-je trouver des rafraîchissements ?
- Les boissons devraient se trouver sur une table, un peu plus loin. Le ministre a sorti des réserves ce qu'il avait de meilleur pour cette fête.
- J'ai entendu des rumeurs parlant d'attaques de bandits. Vous avez eu des problème, ici ?
- Fantastique. Je vais aller voir ça de plus près.
- Rien pour le moment. Je vous laisse à vos occupations.
En discutant avec le serviteur, dans le hall d'entrée[modifier]
Bonjour, c'est un honneur de vous voir. Que puis-je faire pour vous ?
- Auriez-vous par hasard entendu quelques histoires croustillantes concernant certains invités ?
- Il me rappelle bien avoir entendu quelqu'un dire quelque chose d'intéressant au sujet de dame Madeline, mais je suis d'une effroyable étourderie, et je ne me souviens plus de quoi il s'agissait. Si j'étais vous, je poserais la question au cuistot.
- Où puis-je trouver le ministre Wi ?
- Vous servez des rafraîchissements ?
- Merci, je vais faire ça.
- Où puis-je trouver le ministre Wi ?
- Il devrait se trouver dans le Hall principal, pour y accueillir ses autres invités de marque. Il sera certainement ravi de vous recevoir personnellement !
- Auriez-vous par hasard entendu quelques histoires croustillantes concernant certains invités ?
- Vous servez des rafraîchissements ?
- J'y vais de ce pas alors, merci.
- Vous servez des rafraîchissements ?
- Mais bien sûr ! Vous trouverez tout cela dans un coin de la Grand-Salle. Le ministre n'a pas hésité à faire des frais... comme toujours, lorsqu'il s'agit de ses fêtes.
- Auriez-vous par hasard entendu quelques histoires croustillantes concernant certains invités ?
- Où puis-je trouver le ministre ?
- Je vais prendre un verre, merci.
- Rien pour le moment, merci.
En discutant avec le ministre Wi[modifier]
Votre présence à cette modeste fête me comble de joie. On entend parler de vous partout, en ce moment ! Vous m'honorez de votre présence.
- Vous êtes trop bon, Monsieur le Ministre. J'ai simplement accompli mon devoir de citoyen.
- Quel serait le rayonnement du Promontoire divin, si tous les habitants de cette cité se montraient aussi braves que vous ! Quoi qu'il en soit, à l'image de ce qu'un noble exemplaire doit être, vous faites la fierté de son peuple.
- Vos éloges me vont droit au cœur, Monsieur le Ministre. Maintenant, excusez-moi, mais je dois m'entretenir avec certaines personnes.
- Comment aurais-je pu rater un tel événement ? Plutôt me faire piétiner par un troupeau de Centaures !
- Ah ! Quel plaisir de vous recevoir. J'espère que cette modeste fête est à la hauteur de vos attentes.
- Cette fête est des plus réussies, Monsieur le Ministre. Si vous voulez bien m'excuser, je dois m'entretenir avec certaines personnes.
- Ce sont plus les combats qui viennent à moi que l'inverse. Cela dit, ça ne me dérange pas.
- Ah, si seulement cette ville comptait plus de personnes de votre trempe, les Charrs se seraient retirés d'Ascalon, et les portes de la cité des Tengus nous seraient grandes ouvertes.
- Merci, Monsieur le Ministre. Si vous voulez bien m'excuser, je dois m'entretenir avec certaines personnes.
- Je n'aurai manqué ces réjouissances pour rien au monde. La soirée promet d’être passionnante.
- Ah ? Eh bien, je gage que les festivités sont à la hauteur de vos exigences élevées. Profitez de la liesse.
- Promis. Merci.
- Veuillez m'excuser, Monsieur le Ministre. J'ai ici quelques affaires à mener.
En discutant avec dame Wi[modifier]
Le héros de Shaemoor en personne ! J'ai toujours su que vous accompliriez de grandes choses. Et maintenant ? Briguez-vous un poste au Ministère ?
- J'ai bien peur que mes priorités se trouvent plus en dehors du Promontoire divin qu'en son enceinte, gente dame.
- Ah, pour sûr ! Nous avons quelques possessions, à proximité de Claypool. Quel charmant petit hameau. J'adore regarder les paysans travailler dans leurs vignes. Et le vin qu'ils en tirent est un nectar !
- Je ne voulais pas... enfin, aucune importance. Votre fête est des plus réussies, gente dame. A bientôt.
- Je ferai tout pour servir la reine et les citoyens de cette ville au mieux.
- Quelle dévotion ! Le capitaine Thackeray n'a qu'à bien se tenir. Il a un rival de taille au titre de serviteur le plus zélé de la reine Jennah.
- Quel adorable compliment, gente dame. Nous aurons l'occasion de discuter plus tard, veuillez m'excuser.
- Je dois avouer que c'est tentant. Peut-être y songerai-je un jour.
- Ah, mais les autres ministres ont commencé leur carrière bien plus tôt et tous n'ont pas su se distinguer aussi bien que vous ! Je vais parler avec mon époux. Il devrait pouvoir faire quelque chose pour vous obtenir un poste à votre hauteur.
- Merci beaucoup, très chère, mais ne vous donnez pas cette peine pour moi. Nous reprendrons cette discussion plus tard.
- Nous pourrions peut-être rediscuter de tout cela plus tard. Au revoir.
En discutant avec le cuisinier[modifier]
Pas le temps de causer ! J'ai tout un banquet à organiser. Faites vite ou déguerpissez de ma cuisine !
- On m'a dit que vous auriez peut-être des choses à m'apprendre sur dame Madeline.
- Oui, je viens juste de la voir. Elle se disputait vivement avec son frère, le ministre, qui est parti en trombe en criant qu'il avait "des affaires à régler". Il se trame quelque chose...
- Que pouvez-vous me dire d'autre concernant le ministre ?
- Mon frère jumeau, Ellis, est son cuisinier. D'après lui, Zamon paie ses employés au lance-pierre, en plus d’être insultant avec le personnel. J'ignore quel genre de ministre il est, mais il ne brille pas pour ses qualités d'employeur.
- Savez-vous ce qui a causé la dispute entre Zamon et Madeline ?
- Je pense que je vais interroger dame Madeline à son sujet. Merci.
- Savez-vous ce qui a causé la dispute entre Zamon et Madeline ?
- Non, mais dame Madeline est encore ici. Vous pourriez lui poser la question, mais elle refusera certainement d'aborder ce genre d'affaires privées.
- Que pouvez-vous me dire d'autre concernant le ministre ?
- Vous avez raison. Je tâcherai d'aborder le sujet en douceur.
- Intéressant. Je crois que je vais aller lui parler.
- Vous m'avez tout l'air de connaître un tas de potins.
- Des ragots, hein ? Eh bien, je peux vous dire que la baronne Yolanda est "en chasse", et que la gente masculine n'a qu'à bien se tenir. C'est un miracle que le seigneur Faren n'ait pas encore fait les frais des[sic] ses ardeurs.
- Quelque chose d'autre ?
- Eh bien, je peux vous dire que je m'interroge sur la Garde du Ministère. J'ignore pourquoi ses représentants sont si nombreux, ici. Ça vaudrait peut-être la peine de poser la question à l'un d'eux.
- Que pouvez-vous me dire d'autre ?
- Non. Si vous voulez en savoir plus, interrogez les serviteurs. Ils en entendent plus que moi. Je ne quitte jamais cet endroit.
- Je tâcherai de m'en souvenir. Merci.
- Entendu, merci.
- Je tâcherai de m'en souvenir. Merci.
- Du calme, brave homme. Je cherchais juste de quoi me rafraîchir.
- Ah, d'accord. Elle se trouve juste dans le Hall principal, là-bas, votre seigneurie. Et je vous prie d'excuser mon ton cassant. La journée a été dure.
- Merci, c'est entendu. Et j'ai hâte de goûter à vos plats.
- Avisez-vous de me reparler sur ce ton et vous finirez en pâtée pour Charr quelque part à la frontière.
- Excusez-moi, votre seigneurie. Dame Wi nous a laissé des directives très contraignantes quant à la préparation de cette fête. Bien sûr, le personnel et moi sommes à votre entière disposition.
- Je tâcherai de m'en souvenir. Au revoir.
- Je m'excuse. J'étais simplement venu vous présenter mes compliments. Tout ce que vous préparez sent tellement bon !
- Merci, votre seigneurie ! On me complimente rarement pour mon travail. Il m'a fallu des années pour apprendre comment pocher parfaitement un œuf de moa, afin que le jaune soit liquide et... Mais pardonnez-moi... Je digresse.
- Vous faites honneur à votre profession. Continuez comme ça.
- Bon, très bien. Je vous laisse travailler.
En vous approchant du seigneur Benjamin et de dame Madeline[modifier]
- Seigneur Benjamin
- Allons, dame Madeline. Tout le monde sait que l'esprit complexe de votre frère n'a aucun secret pour vous !
- Dame Madeline
- Pas récemment. Entre son travail au ministère et le temps que je passe au chevet de notre mère, nous ne nous voyons plus beaucoup.
- Seigneur Benjamin
- Vous m'en voyez sincèrement navré, gente dame. Comment se porte votre mère ?
- Dame Madeline
- Son état s'est amélioré, mais sa santé reste précaire. Pardonnez-moi, mon seigneur, mais pourrions-nous parler d'autre chose ?
En discutant avec le seigneur Benjamin[modifier]
Quelle fête ! Toutes ces discussions, ces commérages et ces frivolités ! Cela dit, je parie que tout le monde ici redoute de voir sa maison pillée par ces espèces de rats d'égout !
- Vous parlez des cambriolages, n'est-ce pas ?
- Précisément, mon cher ! Et n'est-il pas remarquable que les voleurs n'aient eu aucun mal à entrer, qu'ils aient su précisément où trouver les objets de valeur ? Ce sont bien les bandits les plus chanceux que je connaisse !
- Je dirais que la chance n'a rien à voir là-dedans.
- Exactement. Mais si ce n'est pas de la chance, ça signifie que l'un des nôtres aide ces misérables à piller nos plus belles maisons. C'est intolérable ! Inimaginable ! Il faut faire quelque chose.
- Je suis bien d'accord. D'ailleurs, je vais aller tenter d'y remédier sur l'heure.
- Voilà une fine déduction. J'en ferai part aux autres invités, histoire de voir ce qu'ils en pensent.
- Vous avez bien raison. Profitez de la fête, monsieur.
En discutant avec dame Madeline[modifier]
Oh, bonjour. Nous n'avons pas eu le plaisir d’être présentés. Je suis dame Madeline Zamon.
- Bonjour. Je crois vous avoir déjà croisée. Vous étiez à la fête du seigneur Faren, non ?
- Oui, tout à fait ! Une fête des plus réussies... avant que les bandits ne se montrent, bien sûr. Quand j'y pense, je n'ai pas souvent l'occasion de participer à ce genre d'événements. Pour moi, c'est un peu impressionnant.
- Vous venez d'arriver en ville ?
- Pas vraiment. Mon frère Julius et moi sommes nés ici, mais je suis partie m'installer à la campagne pour aider ma mère. Vous avez déjà entendu parler de la propriété de Zamon ?
- Pardon... vous avez bien dit que le ministre Julius Zamon était votre frère ? Vous devez être fière de lui.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Enchanté(e) de faire votre connaissance. Je présume que vous êtes la sœur du ministre Zamon ?
- Euh... oui. Lui et moi sommes nés ici, lui est resté au sein du Ministère mais moi je suis partie m'installer à la campagne pour aider ma mère.
- Vous devez être fière de sa carrière en tant que ministre.
- Oui, mais j'aimerais que... ah, pardonnez-moi. Je ne devrais pas vous ennuyer avec mes problèmes. Notre mère est en mauvaise santé et son état me préoccupe au plus haut point.
- Votre relation semble un rien tendue.
- C'est ce crétin de cuisinier qui vous a parlé de ça ? Des idioties ! Rien de plus ! Mais pardonnez-moi, oubliez ça. Je crois que je vais avoir besoin d'un moment pour reprendre contenance.
- Je vous prie de m'excuser, gente dame. A plus tard.
- Je suis navré(e) d'avoir à vous l'annoncer, mais j'ai des raisons de penser que votre frère est un traître.
- Un traître ? C'est impossible. Il serait incapable... non... j'aimerais croire qu'il en serait incapable, mais...
- Je vous supplie de me dire ce que vous savez, madame. Des vies sont en jeu !
- Des vies ? Et celle de ma mère ? Qu'adviendra-t-il d'elle si elle apprend que son fils unique est un traître ? Dites-moi ?
- L’intérêt de tous prévaut sur les intérêts individuels, gente dame.
- Par les dieux... Je savais que ça finirait ainsi ! Il y a peu, alors qu'il était chez ma mère, il a reçu la visite d'un homme louche auquel il a remis des papiers. Je lui ai demandé de quoi il était question, mais il a refusé de me répondre.
- Poursuivez, je vous en prie.
- Puis ça a empiré... des types peu engageants passaient prendre des paquets laissés à leur attention par Julius. Je suis venue ici pour lui parler de tout ça. Mais il m'a dit de m'occuper de mes affaires avant de partir en coup de vent.
- Vous seriez prête à en témoigner au cours d'un procès ?
- Un procès ? Julius, mais qu'as-tu fait ? Oui, je témoignerai... puisse Kormir nous guider et Dwayna nous protéger. Je ne peux permettre à Julius de déshonorer le nom de ma famille ou de perturber le repos de ma pauvre mère...
- Merci, gente dame. Vous rendez un grand service à la population du Promontoire divin.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Je crois qu'elle serait fière que sa fille ait sauvé des vies.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Êtes-vous en train de me cacher quelque chose ?
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
- Veuillez m'excuser... je dois prendre congé.
En discutant avec Nicholas Winters[modifier]
On raconte que vous avez sauvé Faren de brutes épaisses. Je suppose qu'il n'y a aucune chance que vous le laissiez à leurs mains un peu plus longtemps, la fois prochaine ? La saga de ses "exploits romantiques" m'épuise !
- Allons, seigneur Winters. Faren est mon ami. Je ne le laisserais jamais tomber de la sorte !
- Bien sûr que non. Toutes mes excuses, c'était déplacé. Enfin, gageons que si ses geôliers avaient été des geôlières, il ne lui aurait pas fallu longtemps pour les subjuguer et s'enfuir ! Ha ha !
- Moi, ce qui m'épuise, c'est cette histoire de noble complice des bandits.
- Vous n'avez rien perdu de votre répartie, mon ami. A plus tard.
- Moi, ce qui m'épuise, c'est cette histoire de noble complice des bandits.
- Si cette histoire est vraie, il doit s'agir d'un membre du Ministère. Ils aiment l'argent comme les Charrs aiment la viande. Certains de ces petits chenapans n'hésiteraient pas à engager de la vermine pour dépouiller leurs propres concitoyens.
- Faites-moi signe si jamais vous découvrez l'ombre d'une preuve de cela. Nous en reparlerons plus tard.
- Comme je vous comprends, mon ami. A bientôt.
En discutant avec le seigneur Faren[modifier]
Mais c'est mon ami le héros de Shaemoor ! Dis, tu pourrais te retenir un peu sur les faits d'armes ? C'est difficile d'engager la discussion avec une jolie fille quand elle n'a que tes exploits à la bouche !
- Loin de moi l'idée de faire obstacle à vos conquêtes.
- Ah ! "Va te faire hyperonduler chez les nanotransmetteurs", comme disent les Asuras. Bon... j'ai des informations intéressantes ! Mais j'aurais besoin qu'on me rende un petit service. Alors ?
- Vous plaisantez ?
- Je meurs d'envie de parler à la baronne Jasmina depuis le début de la soirée, mais elle ne cesse de parler de vous et refuse de croire que nous sommes amis ! Vous y croyez, vous ? Pourriez-vous lui glisser un compliment à mon sujet ?
- Tout pour rendre service à un vieil ami. Je vais la charmer en lui racontant mille bobards sur toi.
- Très bien. Si c'est le prix qu'il faut payer pour tes informations, je le ferai.
- De quoi s'agit-il ?
- Pas encore ça ! A plus tard.
En discutant avec la baronne Yolanda[modifier]
Cette fête n'est-elle pas somptueuse ? Et quel plaisir de vous y croiser ! Je vous croyais partie accomplir un énième exploit aux côtés du capitaine Thackeray !
- Pas pour le moment, malheureusement.
- Eh bien, je n'en reste pas moins ravie de vous voir ici ! Mais la prochaine fois, si vous êtes accompagnée de ce ravissant capitaine, j'espère bien que vous vous arrangerez pour nous présenter ?
- Je verrai ce que je peux faire. Au revoir.
- Avez-vous entendu des potins intéressants ?
- Mais bien entendu, mon enfant ! Vous voyez le baron Edmonds, là-bas ? Il boit comme un trou. C'est un miracle qu'il n'ait pas encore siphonné la totalité du contenu de la cave du ministre Wi !
- Quelque chose d'autre ?
- Vous savez qui est le grand absent de la soirée ? Le baron Corone ! La rumeur prétend que le vol de son précieux calice l'a complètement abattu. Il appartenait à la reine Salma, vous comprenez. On dit qu'il est prêt à offrir une récompense !
- Etes-vous au courant de quoi que ce soit d'autre ?
- Eh bien, que de questions ! A mon tour. Etait-ce bien à la comtesse Anise que vous parliez tout à l'heure ? J'aimerai en savoir plus sur cette affaire... et sur elle.
- La comtesse Anise est une vieille amie de famille.
- Vraiment ? Je ne croyais pas la comtesse du genre à se faire des amis... très intéressant. Eh bien, très chère, n'hésitez pas à revenir vers moi quand vous voulez, nous partagerons nos derniers potins.
- Je... bien sûr. Nous nous entretiendrons plus tard, baronne.
- On dirait qu'elle s'intéresse à moi... ça ne me déplaît pas. Elle connaît des gens haut placés.
- Vraiment ? Comme c'est charmant ! Allons, dites-m'en plus sur cet "intérêt". Racontez-moi tout !
- Peut-être une prochaine fois, gente dame. Au revoir.
- J'ai peur que cela ne doive rester mon petit secret.
- Hmm, intéressant. Et bien, j'adore qu'on m'entretienne de la vie des grands personnages de la Kryte ! N'hésitez pas à revenir me voir, très chère. Nous échangerons quelques ragots !
- Entendu. Merci.
- Une discussion que nous allons devoir remettre à plus tard. Au revoir.
- Veuillez m'excuser, gente dame. Nous reparlerons plus tard.
- Excusez-moi. Nous deviserons plus tard, madame.
- Excusez-moi. Nous discuterons plus tard, madame.
En discutant avec la baronne Jasmina[modifier]
Je suis si contente de vous voir. J'étais en train de dire à dame Madeline que j'ignorais si vous viendriez, mais vous voilà ! Je crois que je vais manquer d'air.
- Allons, reprenez-vous. Un bon ami m'a dit que je devrais m'entretenir avec vous.
- Un ami ? Oh, vous parlez du seigneur Faren ?
- Oui... C'est un compagnon fidèle avec lequel j'ai vécu nombre d'aventures palpitantes !
- Oh, douce Lyssa ! Vraiment ? Ainsi donc, il vous a courageusement suivi dans le repaire des bandits comme il l'affirme ? C'est remarquable. Transmettez-lui mes amitiés, voulez-vous ?
- Je m'en occupe sur l'heure.
- Je sais qu'il a parfois l'air aussi roublard qu'un Skritt aux abois, mais il a bon fond.
- J'ai peut-être jugé ce gentilhomme un peu trop durement. Vous lui transmettrez mes amitiés, voulez-vous ?
- Je m'en occupe sur l'heure.
- Un ami qui vous tient en haute estime m'a parlé de vous, et je tenais à faire votre connaissance.
- Vous avez dû me prendre pour quelqu'un d'autre. Au revoir.
En vous entretenant de nouveau avec le seigneur Faren[modifier]
J'ai vu ça... que Kormir me foudroie si elle n'était pas impressionnée ! Tu es un véritable ami !
- Bon, je t'écoute. Raconte-moi donc ça et essaye de me donner la version courte.
- Tu te souviens de notre aventure dans la caverne des bandits ? Tu pensais qu'ils étaient peut-être manipulés par un ministre. Je crois avoir découvert des informations qui pourraient bien t’être utiles !
- Baisse la voix ! Quelles informations ?
- Oh oui, désolé. Mais je crois qu'il s'agissait du ministre Zamon ! J'étais de sortie avec une... euh... une amie, et j'ai vu le ministre sortir des bois à proximité du Transcharge de Gibson. Seul ! Et de la manière la plus suspecte qui soit !
- Ces bois sont infestés de criminels en tous genres. Tu es certain qu'il était seul ?
- Suffisamment pour en témoigner devant un tribunal ! Il était habillé comme s'il partait pour un dîner de gala et se promenait au beau milieu de ces bois infestés de bandits ! Ça va t'aider dans ton enquête ?
- C'est le moins qu'on puisse dire. Merci, Faren, à plus tard.
- Nous en reparlerons plus tard.
- Ce n'est rien. Alors, de quoi voulais-tu me parler ?
- De rien. Au revoir.
En s'approchant de la Sentinelle Reth[modifier]
- Sentinelle Reth
- Excusez-moi, vous avez un instant ?
Bonsoir. Puis-je faire quelque chose pour vous ?
- Est-il normal d'affecter autant de gardes à la surveillance d'un événement privé ?
- Je... j'ai bien peur que non. Je ne sais pas exactement ce que nous faisons ici. Ce n'est pas un dispositif ordinaire.
- On dirait bien que vous avez des doutes.
- Peut-être, mais discuter en présence de témoins est dangereux. Qui plus est, je suis assoiffé. Un brin de discussion paraîtrait plus naturel si un noble altruiste venait spontanément offrir une boisson fraîche à un garde travailleur.
- C'est dans mes cordes. Je reviens.
- A plus tard.
- Rien pour l'instant, merci.
Après avoir offert un verre à la Sentinelle Reth[modifier]
- <Nom de votre personnage>
- Voilà votre verre. Pour tous les témoins de la scène, je ne suis qu'un noble altruiste, et vous un garde reconnaissant. Maintenant, parlez.
- Sentinelle Reth
- La fréquence des vols et des enlèvements augmente, et nous restons là, les bras ballants. Dernièrement, on dirait que la garde ne se trouve jamais là où on aurait besoin d'elle.
- <Nom de votre personnage>
- Cette boisson était censée vous délier la langue, mais j'ai l'impression que vous ne m'avez pas tout dit.
- Sentinelle Reth
- Je sais ce que vous avez fait à Shaemoor, et on dit que Thackeray vous écoute. Ces informations sont plus que "sensibles", alors faites-en bon usage.
Nos ordres tombent juste avant les attaques. Comme si quelqu'un tenait à nous écarter pour laisser le champ libre aux bandits.
- <Nom de votre personnage>
- Vous pensez qu'un membre de la Garde du Ministère pourrait être complice des bandits ?
- Sentinelle Reth
- Non, quelqu'un de plus haut placé. Les ordres émanent du ministre Zamon lui-même. Écoutez, je prends de gros risques, mais ces bandits sont des ordures. Faites parvenir ces informations à qui de droit !
- <Nom de votre personnage>
- Je le ferai ! Je vous laisse savourer votre verre. Je dois aller parler à quelqu'un.
En discutant avec le ministre Zamon[modifier]
Tiens, le héros de Shaemoor daigne assister à la réception du ministre Wi ? Vous en avez fait votre titre officiel ? <Nom de votre personnage> ne vous convenait plus, comme nom ?
- C'est un surnom affectueux, monsieur. Mais affection ne fait sans doute pas partie de votre vocabulaire.
- Vous avez osé m'insulter ? Je devrais peut-être aller parler au ministre Wi de cette insulte publique !
- Mais je vous en prie... je suis curieux de voir comment il réagira à vos niaiseries grossières.
- Peuh. Vous me faites perdre mon temps, petit(e) impertinent(e). Allez donc tenir compagnie à votre ami, ce libertin de seigneur Faren, et laissez-moi tranquille.
- Je préfère les libertins aux serpents, Monsieur le Ministre.
- Je n'ai pas peur de vous, Zamon.
- Alors vous feriez bien de prendre quelques cours de savoir vivre. J'ai défié des hommes en duel pour moins que ça et j'ai laissé leur cadavre dans la boue. Au revoir !
- Je prie pour que le jour de notre affrontement arrive bientôt. Au revoir.
- Mes amitiés au ministre Wi. J'ai d'autres chats à fouetter.
- Ne soyez pas jaloux, Monsieur le Ministre, à défaut de mériter un titre comme le mien, vous pourriez vous l'acheter.
- Vos plaisanteries sont fatigantes et déplacées. Je me demande ce qui vous a valu une invitation du ministre Wi ? Je devrais peut-être aller lui poser la question.
- N'oubliez pas de lui demander pourquoi il a invité la comtesse Anise ? C'est ma cavalière.
- La comtesse ? ... Très bien. Je m'abstiendrai de tout commentaire, mais je devrais aller lui dire un mot sur le choix de ses invités.
- Faites donc je vous en prie... elle trouverait ça très drôle. Au revoir.
- Allez vaquer à vos occupations... J'en ai fini avec vous. Au revoir.
- Serait-il un instant possible de discuter poliment avec vous ?
- Je réserve ma courtoisie aux gens civilisés, et vous n'en faites pas partie.
- C'est navrant. Il vaut mieux me compter parmi ses amis que parmi ses ennemis. Au revoir.
- Je vois qu'il est apparemment impossible d'avoir une conversation courtoise avec vous. Au revoir.
Conversation avec la comtesse Anise[modifier]
J'espère avoir répondu à vos attentes. Prenez garde à qui vous accordez votre confiance. Il y a plus de faux semblants ici que de masques au carnaval, et les nobles sont passés maîtres dans l'art du jeu de dupes.
- Dites m'en plus. Pour sûr, je connais bien le seigneur Faren, mais j'aimerais savoir ce que vous pouvez me dire de lui.
- Faren ? Un rustre et un séducteur incorrigible, mais c'est un brave type. Il a appartenu au Ministère pendant quelques années, mais il s'est retiré pour "raisons personnelles". Ce n'est pas le fin mot de l'histoire, mais je n'en dirai pas plus.
- Que pouvez-vous me dire de dame Madeline ?
- Madeline Zamon ne s'est jamais mariée. Son sort est d'autant plus triste qu'elle doit rester chez elle pour s'occuper de sa mère malade. Elle doit se sentir très seule, mais je sais qu'elle se console en se disant qu'elle agit comme une bonne fille doit le faire.
- Que pouvez-vous me dire du seigneur Benjamin ?
- Que pouvez-vous me dire de Nicholas Winters ?
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Que pouvez-vous me dire du seigneur Benjamin ?
- Benjamin est quelqu'un d'adorable, mais n'allez pas lui confier vos secrets. C'est un bavard intarissable, et entre les différentes personnes qui le manipulent, impossible de savoir à qui il irait tout répéter.
- Que pouvez-vous me dire de Nicholas Winters ?
- Que pouvez-vous me dire de dame Madeline ?
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Que pouvez-vous me dire de Nicholas Winters ?
- Ah, Nicholas ! Il est bien comme son père : chanceux d'être tombé dans une famille fortunée. Sans ça, sa fainéantise l'aurait mené à sa perte depuis longtemps.
- Que pouvez-vous me dire de dame Madeline ?
- Que pouvez-vous me dire du seigneur Benjamin ?
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Que pouvez-vous me dire de Logan Thackeray ?
- Je vois qu'il titille votre curiosité, n'est-ce pas ? Je pourrais vous dire que Logan est charmant et d'une loyauté extrême envers la reine, mais c'est ce que je ne peux pas vous dire de lui qui est le plus intéressant. Disons que je trouve son évolution des plus intéressantes. Son passé est des plus troubles.
- Que pouvez-vous me dire à propos des Séraphins ?
- Les Séraphins gardent la Kryte depuis des siècles. Logan est à la tête de la compagnie protégeant le Promontoire divin. Quel dommage qu'il soit si proche de la reine, vous ne pensez pas ?
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Que pouvez-vous me dire à propos du Ministère ?
- Le ministère krytien est profondément ancré à la cour de la reine, et son influence ne cesse de croître au fil du temps. Les magistrats représentent l'autorité judiciaire et conseillent la reine sur les nouvelles lois à promulguer.
- Que pouvez-vous me dire du ministre Wi ?
- La famille du ministre Wi exerce une grande influence sur la ville depuis longtemps. Il pourrait bien s'agir de la famille la plus riche de Tyrie.
- Que pouvez-vous me dire du ministre Zamon ?
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Que pouvez-vous me dire du ministre Zamon ?
- Le seigneur Zamon a toujours été opportuniste. Je ne suis guère surpris que vous en ayez après lui. Il n'a ni l'esprit ni les épaules pour faire un ministre digne de ce nom, alors un grand criminel...
- Que pouvez-vous me dire du ministre Wi ?
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Je voudrais vous poser une autre question.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
- Je dois parler à quelqu'un. Si vous voulez bien m'excuser.
En interagissant avec la comtesse Anise[modifier]
- Comtesse Anise
- Alors, on a joué les petites abeilles butineuses ? J'espère que vous avez trouvé les informations dont nous avons besoin.
- <Nom de votre personnage>
- Ça avance bien. J'ai trouvé deux personnes prêtes à témoigner que Zamon a des liens avec les bandits.
- Logan Thackeray
- Formidable. J'adorerais pouvoir jeter directement Zamon en prison, mais j'ai les mains liées par le protocole. En tout cas, les preuves dont nous disposons vont nous permettre de l'inculper.
- Comtesse Anise
- Tiens ! Quand on parle du Drake, on en voit la queue. Logan, le ministre Zamon vient d'arriver. Vous allez pouvoir accomplir votre devoir.
- Ministre Zamon
- Tiens, mais c'est le capitaine Logan Thackeray. Dites-moi tout, capitaine. Que me vaut l'honneur ?
- Logan Thackeray
- En vertu de mes pouvoirs de capitaine des Séraphins et au nom de Sa Majesté la reine Jennah, je vous inculpe.
- Ministre Zamon
- Quoi ? C'est un scandale ! Quelles sont les charges retenues contre moi ?
- Logan Thackeray
- Vous êtes accusé de complot contre la couronne et le peuple de Kryte. Puisse Kormir juger vos actes, et Dwayna avoir pitié de vous.
En discutant une dernière fois avec la comtesse[modifier]
Eh bien... je pense que nous venons de mettre un bon coup de pied dans la ruche. Mais aussitôt que nous aurons le dos tourné, l'endroit va bourdonner de commérages.
- Et maintenant, comment ça va se passer ?
- Le procès est en cours. Caudecus, le ministre, va certainement chercher à classer cette affaire rapidement. Il redoute tout ce qui peut causer du tort au Ministère.
- J'ai de la peine pour dame Madeline.
- Nous nous reverrons au procès.
- J'ai de la peine pour dame Madeline.
- Nous ne pouvons contrôler les agissements de nos fréquentations. Je doute que ce soit une grande consolation pour elle, mais elle a fait le bon choix en acceptant de témoigner contre lui.
- Et maintenant, comment ça va se passer ?
- Nous nous reverrons au procès.
- Nous nous reverrons au procès, gente dame. Merci pour cette fête mémorable.
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J'ai trouvé suffisamment de personnes pour témoigner contre Zamon et monter un dossier crédible. Le seigneur Faren a repéré le ministre Zamon qui sortait d'une forêt contrôlée par les bandits. Quand au garde Reth, il a mentionné que la garde du ministère était souvent envoyée à l'exact opposé de l'endroit où une attaque de bandit s'apprêtait à avoir lieu.
— Onglet "Chroniques"
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