Le coeur a ses raisons est la cinquième mission de l'histoire personnelle des joueurs Sylvaris ayant rêvé du chevalier d’émeraude. Elle se déclenche si le héros choisit d'utiliser Gairwen afin de piéger le chevalier.
Évoquer la défaite de Bercilak avec Gairwen.
- Trouver Gairwen à la Spirale de Morgan.
- Sauver Gairwen des courtisans des Cauchemars.
- Parler à Gairwen.
- Préparer la défense de plantes à graines.
- Protéger Gairwen des courtisans des Cauchemars.
- Parler à Gairwen.
Récompenses communes[modifier]
Récompenses spécifiques à la profession[modifier]
- Courtisans des Cauchemars
Le joueur rejoint Gairwen à la Spirale de Morgan, accompagné de Caithe. Lorsqu'il arrive, des courtisans des cauchemars sont en train d'attaquer Gairwen. Après l'avoir sauvée, le joueur doit préparer la défense contre plusieurs vagues de courtisans des cauchemars avec des graines, afin d'ériger des tourelles sylvaries.
Une fois toutes les vagues vaincues, le joueur obtient l'accord de Gairwen pour piéger le chevalier.
Avant l'attaque[modifier]
- <Nom du personnage>
- Bercilak a dû envoyer ces Courtisans pour capturer Gairwen. Gairwen, vous allez bien ?
- Gairwen
- Oh, ma tête. Je ne les ai même pas vus venir. Je m'occupais de la tombe, et tout d'un coup, ils m'ont attaquée. J'ai la tête qui tourne.
- Caithe
- Vous avez été sacrément touchée, mais rien de fatal. Reprenez vos forces, la Cour s'est dispersée, mais ne devrait pas tarder à revenir.
- <Nom du personnage>
- Elle est blessée, Caithe, il faut qu'on la défende. Gairwen, vous n'auriez pas des graines qui pourraient protéger la zone ?
- Gairwen
- Si, j'en ai. Je ne peux pas me battre, mais ça, ça devrait pouvoir vous aider. Bonne chance.
Pendant la phase d'attaque[modifier]
- Gairwen
- Je suis peut être blessée, mais je peux toujours aider. Organisons la défense.
- Gairwen
- Malédiction ! Je n'ai plus qu'une poignée de graines de tourelle. Ça ne suffira jamais ! Qu'est-ce qu'on fait ?
- Graines ou pas, il faut combattre
- A quoi servent ces graines, déjà ?
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Après l'attaque[modifier]
- Gairwen
- Merci. Je n'arrive toujours pas à croire que Bercilak a envoyé des Courtisans pour m'enlever. Sans vous...
- <Nom du personnage>
- C'est un homme cruel, et il ne reculera pas tant qu'il ne vous aura pas. Gairwen, j'ai encore besoin de vous. J'aimerais le défier à nouveau.
- Gairwen
- Oh, non ! Vous ne pouvez pas il vous tuera ! Il est invincible !
- Caithe
- Pas si on le frappe là où il n'est pas protégé. Si vous lui donnez un baiser, il enlèvera son casque... C'est là qu'il faut frapper.
- Gairwen
- Un baiser ? Quelle horreur ! Je le déteste, comment je pourrais... Hmm, et Evart serait vengé ?
- Vaillant, si j'accepte, vous pensez vraiment pouvoir mettre Bercilak hors d'état de nuire ?
- <Nom du personnage>
- Vous avez ma parole. Je vaincrais Bercilak, ou je mourrai.
- Gairwen
- Soit, mon amour me pardonnerait cette transgression, si c'est pour arrêter un assassin. Où comptez-vous organiser ce duel ?
- <Nom du personnage>
- Envoyez une lettre à Bercilak en lui disant de vous retrouver au Marché de Mabon, je veux autant de témoins que possible.
- Le nom "Le coeur a ses raisons" est une référence au diaphore de Blaise Pascale dans Pensées : "Le cœur a ses raisons que la raison ignore."
Fichier:Le coeur a ses raisons.jpg
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Gairwen a accepté de piéger Bercilak en lui faisant retirer son casque. Un acte difficile à vivre pour elle, mais Caithe et moi l'avons convaincue qu'il s'agissait de la seule façon de vaincre Bercilak.
— Onglet "Chroniques"
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