Correspondance de l'Imperator n° 1

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Correspondance de l'Imperator n° 1

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Type
Objet interactif
Type d'objet int.
Livre
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Emplacement
Alcôve des Légions
(Côte de Bruinebois)
Contenu d'extension
L'Épopée du givre L'Épopée du givre

Cette correspondance a été rédigée par l'Imperator Smodur l'Impassible de la Légion de Fer.

Lecture[modifier]

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Correspondance de l'Imperator n° 1
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À : Citadelle noire


Objet : Signature nécessaire


Au Fahrar, nous apprenons tous que notre Légion est unique, la meilleure d'entre toutes, aucune autre ne lui arrive à la cheville. Certains voient cela comme une façon d'encourager la compétition avec les autres Légions et de nous pousser à nous améliorer. Je n'ai pas besoin de vous expliquer que je ne partage pas cette croyance. Pour moi, la Légion de Fer est, en effet, la meilleure de toutes les Légions. Imaginez donc ma surprise quand j'ai reçu une pile de parchemins aussi haute que l'arbre de transmission d'un tank où cette conviction était remise en question. Votre Imperator avait pris des décisions "douteuses" que certaines personnes de la Citadelle noire considéraient comme "excessives". Des Charrs moins conciliants que moi pourraient dire que le vocabulaire utilisé était menaçant.


Chaque jour, nous devons faire face à une nouvelle menace. Quand nous en éliminons une, les autres persistent. Je dirais même que ma grande expérience des champs de bataille m'a enseigné que quand un ennemi est vaincu, les autres semblent se ragaillardir. Bangar n'est que la dernière menace d'une longue série, et mes victoires à Bruinebois montrent clairement que je suis le seul à même de venir à bout de lui.


J'ai été le seul à voir que les Humains n'étaient pas nos ennemis. Je ne mentionne cela que pour mettre en lumière un fait plus important : à cette époque, comme maintes fois sur le champ de bataille, certains individus à l'intellect discutable pensaient que j'avais tort.


Ce n'était pas le cas.


J'ai dû lutter griffes et ongles pour faire venir les autres à Noirfaucon. Et les résultats parlent d'eux-mêmes : sans ce traité, nous n'aurions jamais vaincu Zhaïtan. Ni Mordremoth. Ni Kralkatorrik. Sans ce traité, sans mon traité, il n'y aurait plus de Tyrie. Les autres Imperators, et même le commandant, ne l'ont pas encore bien compris, mais la Citadelle noire sait bien qu'une fois que l'affaire Bangar aura été réglée, je deviendrai Khan-Ur. Ce n'est pas pour rien que ce fait est considéré comme acquis, et je vous prierai de vous en souvenir au moment de rédiger vos correspondances futures.


Les Charrs ont oublié qui ils étaient, ils sont prêts à abandonner jusqu'à leurs corps pour obéir aux murmures d'un dragon ancestral maléfique. Les "lois de la guerre" dont vous parlez dans vos menaces à peine dissimulées ne s'appliquent pas face à une force qui n'obéit pas aux lois de la nature.


Vous voudriez que j'adopte des méthodes plus douces ? Iriez-vous sur le champ de bataille avec une lame à demi affûtée ? Je ne fais pas dans la demi-mesure, qui est synonyme d'inefficacité totale.


Quand j'envoie une menace, je la signe de mon nom. La prochaine missive anonyme que je recevrai sera jetée directement au feu.


— Imperator Smodur l'Impassible

Voir aussi[modifier]