Captif
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Les Captifs sont enfermés dans une cellule sur les hauteurs de l'antre de Bercebruyère. Il n'est pas possible de les faire échapper mais on peut tout de même leur remonter les encourager à résister.
Tâches[modifier]
Conversations[modifier]
Captif 1[modifier]
Non, attendez... Je veux bien croire tout ce que vous me direz. Mais par pitié, ne me tuez pas.
- Taisez-vous. Je ne suis pas des leurs. Je suis un espion.
- Je n'en peux plus. Si je refuse de me joindre à eux, ils me tueront. Ils ont sapé jusqu'à mes dernières forces.
- Non. Ne vous éloignez pas des autres, et tout se passera bien. Ne baisser pas les bras.
- Si vous pensez que je peux m'en tirer, je tâcherai.
- Reposez-vous sur les autres. Grâce à eux, vous survivrez.
- Si vous pensez que je peux m'en tirer, je tâcherai.
- Ne faiblissez pas. Tenez le coup. Le Protecteur vous sortira bientôt de là.
- Le Protecteur? Dans ce cas, je devrais pouvoir résister encore un peu.
- Ça va aller. Ne baissez pas les bras.
- Le Protecteur? Dans ce cas, je devrais pouvoir résister encore un peu.
- C'est donc qu'il n'y a plus de salut pour vous.
- Non. Ne vous éloignez pas des autres, et tout se passera bien. Ne baisser pas les bras.
- Je n'en peux plus. Si je refuse de me joindre à eux, ils me tueront. Ils ont sapé jusqu'à mes dernières forces.
- Si vous acceptez de céder au cauchemar, c'est qu'il est déjà trop tard pour vous.
Captif 2[modifier]
Je ne vous rejoindrai jamais, quelles que soient les souffrances que je doive endurer.
- Chut... Je ne suis pas avec vos ravisseurs. Je viens vous prêter main-forte.
- L'un de nos compagnon de cellule a été torturé à mort juste sous nos yeux il n'y a pas longtemps. Moi, je vais bien, mais les autres sont affaiblis par la peur de mourir. Commencez par les aider.
- Ne laissez pas votre fierté vous aveugler face à vos souffrances.
- Ce n'est pas de la fierté, c'est... Je sais que la Cour des Cauchemars utilise la peur contre nous. J'essaie donc de ne pas la laisser m'envahir. Mais j'imagine que si je rejette l'aide d'autrui, je perdrai le Rêve de toute façon.
- Ce n'est pas une faiblesse d'admettre qu'on a besoin d'aide et de l'accepter. Ça rend tout le monde plus fort.
- Ce n'est pas de la fierté, c'est... Je sais que la Cour des Cauchemars utilise la peur contre nous. J'essaie donc de ne pas la laisser m'envahir. Mais j'imagine que si je rejette l'aide d'autrui, je perdrai le Rêve de toute façon.
- Les souffrances et la mort d'autrui ne vous atteignent donc plus ?
- Je sentirai toujours la souffrance des autres. Sinon, je ne serais pas un Sylvari. Mais je ressens aussi l'angoisse de ceux qui ne sont pas aussi fort que moi, et nous devons prendre soin de ceux qui souffrent le plus.
- Vous êtes un vrai Sylvari. Les autres seront renforcés par votre force.
- Je sentirai toujours la souffrance des autres. Sinon, je ne serais pas un Sylvari. Mais je ressens aussi l'angoisse de ceux qui ne sont pas aussi fort que moi, et nous devons prendre soin de ceux qui souffrent le plus.
- Ne laissez pas votre fierté vous aveugler face à vos souffrances.
- L'un de nos compagnon de cellule a été torturé à mort juste sous nos yeux il n'y a pas longtemps. Moi, je vais bien, mais les autres sont affaiblis par la peur de mourir. Commencez par les aider.
- Dans ce cas, je vous laisse tranquille.
Captive[modifier]
Pourquoi cette cruauté? Tout ce que nous voulons, c'est vivre en paix.
- Je ne fais pas partie de la Cour des Cauchemars. Je suis ici pour l'infiltrer.
- Si c'est vrai, aidez-nous. Nous devons sortir d'ici !
- Si je suis démasqué, ils me jetteront ici avec vous. Un peu de patience.
- Merci. Je sais que vous ne pouvez pas nous faire sortir d'ici. Je peux attendre encore un peu.
- Au revoir.
- Merci. Je sais que vous ne pouvez pas nous faire sortir d'ici. Je peux attendre encore un peu.
- Si je suis démasqué, je ne pourrai pas vous aider. Vous pouvez vous débrouiller sans moi.
- Merci. Je ne sais pas si c'est vrai, mais vos paroles me donnent de l'espoir.
- Au revoir.
- Merci. Je ne sais pas si c'est vrai, mais vos paroles me donnent de l'espoir.
- Au revoir.
- Si je suis démasqué, ils me jetteront ici avec vous. Un peu de patience.
- Si c'est vrai, aidez-nous. Nous devons sortir d'ici !
- Au revoir.