Quais du bazar/Anciens dialogues ambiants
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Cette page regroupe l'ensemble des anciens dialogues ambiants des Quais du bazar
Le Festival des Quatre Vents (2014)[modifier]
- Tournesol
- Les nuages ont versé des larmes car nous avons perdu notre soleil de cristal.
- Zéphyrite
- (fredonnement)
- Plus de vent et de pluie à dompter, ou de ciel dévorant.
- Elle ne vole plus dans un rayon étincelant et laisse un trou béant.
- Zéphyrite
- (fredonnement)
- Hélas, le temps passe trop vite, ancien ami magique.
- Il est si horrible et effrayant de perdre ce trésor de manière aussi inique.
- Zéphyrite
- (en chantant) Hélas, hélas, hélas, hélas...
- Zéphyrite
- (en chantant) Hélas, nous partons...
- Zéphyrite
- (en chantant) Nous nous élevons dans le ciel...
- Zéphyrite
- (en chantant) Et crions : "Hélas, hélas, hélas..."
- Zéphyrite
- Mai pourquoi permettre à des étrangers d'apprendre nos disciplines ?
- Zéphyrite
- Nous en apprenons autant d'eux qu'eux de nous.
- Zéphyrite
- D'accord, mais ils risquent de mal utiliser notre savoir, non ?
- Zéphyrite
- Je préfère partager mon savoir que le cacher. Le savoir lui-même est neutre, il faut le propager pour éviter qu'il soit mal exploité.
- Zéphyrite
- Ma fille a commencé les leçons du Vent. Elle apprend à la vitesse d'un ouragan.
- Zéphyrite
- Tu dois être fière d'elle !
- Zéphyrite
- Est-ce qu'il y aura des sommets ou des négociations pendant notre temps à terre ?
- Zéphirite
- Pas que je sache. Les maîtres ne voulaient pas que nos affaires gênent leurs actions diplomatiques.
- Zéphyrite
- Les producteurs de cristaux disent avoir moulu un nouveau chargement de poussière.
- Zéphyrite
- Parfait. Nous allons attendre d'être de retour là-haut pour ensemencer les nuages.
- Zéphyrite
- Les dragons ne sont pas maléfiques, les enfants. Ils sont naturels. Ce sont des forces de la nature comme le vent, le soleil et la foudre.
- Zéphyrite (enfant)
- Mais ils tuent plein de gens. Ça ne les rend pas maléfiques ?
- Zéphyrite
- Ne savez-vous pas que le vent, le soleil ou la foudre peuvent tuer ?
- Zéphyrite (enfant)
- Heu, si.
- Zéphyrite
- Vous avez donc votre réponse.
- Brill, mes trésors, était la plus grande de tous les dragons, même si elle n'était pas la plus puissante.
- Zéphyrite (enfant)
- Elle pouvait parler aux gens par la pensée.
- Zéphyrite
- C'est vrai. Et comme elle pouvait lire nos pensées, elle apprit à nous connaître et à nous aimer.
- Zéphyrite (enfant)
- Elle voulait qu'on vive en paix.
- Zéphyrite
- Oui, et elle est morte en tentant de nous protéger des forces de la nature qui voulaient nous engloutir.
- Zéphyrite (anfant)
- Pourquoi les dragons nous veulent-ils du mal ?
- Zéphyrite
- Les dragons sont comme les marées. En s'élevant, ils ne pensant pas aux gens qui seront piégés et noyés.
- Ils savent juste qu'il est temps de s'élever, et ils le font. Ils n'ont faim que de magie, celle du monde, qu'ils consomment.
- Elle les rend plus puissants et dangereux. A mons[sic] avis, il vaut mieux ne pas se trouver au mauvais endroit quand la marée arrive. N'est-ce pas ?
- Zéphyrite (enfant)
- Oui !
- Qui va nous protéger maintenant que Brill est morte ?
- Zéphyrite
- Ne vous en faites pas. Il y a plein de gens bien qui vont poursuivre le combat. Avez-vous entendu parler d'Eir Stegalkin ?
- Zéphyrite (enfant)
- C'est la grande Norn qui a combattu aux côtés de Brill et failli tuer Kralkatorrik.
- Zéphyrite
- Tout à fait. Elle vit toujours et pourchasse les dragons à travers la Tyrie. Et puis, elle n'est pas seule. Elle a beaucoup d'alliés.
- Zéphyrite (enfant)
- J'espère la rencontrer un jour.
- Zéphyrite
- Je te le souhaite.
- Zéphyrite
- Tu as entendu ces rumeurs alarmantes ? Les maîtres s'inquiètent d'avoir trop attiré l'attention sur nous, cette fois.
- Zéphyrite
- J'ai entendu. Ils craignent les voleurs. Nous devons tous rester vigilants tant que nous serons à terre.
- Carden
- Allons. Ce que j'ai vous intéresse ou pas ?
- Lonan
- Qu'est-ce qui presse ? Vous avez des ennuis ou quoi ?
- Carden
- Vous savez quoi ? Ça ne fait rien.
- Lonan
- Non, attendez. Je n'ai même pas vu votre marchandise.
- Carden
- Je peux vous demander un service ? Oubliez-moi.
- Andile
- Qu'avez-vous pour moi, mon ami ?
- Carden
- Des biens précieux, c'est tout. La question est : que pouvez-vous faire pour moi ?
- Andile
- N'ayez crainte. Je dois pouvoir vous en donner un bon prix.
- Carden
- Vous ne pouvez pas m'offrir plus ? Vous voulez ma mort.
- Andile
- Mon ami, je vous fais une offre très généreuse là.
- Carden
- Vous me croyez stupide ? Je vois bien que vous voulez profiter de moi.
- Vous savez comme c'est difficile de se procurer ça ? Laissez tomber. On ne fera pas affaire.
- Carden
- Qu'est-ce que ça peut faire d'où ça vient ? Vous achetez ou pas ?
- Penna
- Pas de précipitation. Je dois d'abord étudier l'objet, et y réfléchir.
- Carden
- Réfléchir à quoi ? Je n'ai pas que ça à faire !
- Penna
- Tout le monde ici voudra estimer votre marchandise. C'est comme ça.
- Carden
- Je n'ai pas besoin de vous. Je peux leur vendre ça directement.
- Penna
- (rire) Oh, vraiment ? Vous êtes sûr ?
- Je comprends ces gens, leur façon de penser, leurs envies et leurs besoins. Et vous ?
- Carden
- Que voulez-vous dire ? Ce sont des gens, comme nous.
- N'est-ce pas ?
- Bon, vous avez vu l'objet. Faites-moi une offre.
- Penna
- Désolée, je ne peux pas acheter. Je sais où vous avez eu ça, et je ne veux pas d'ennuis avec ces gens.
- Carden
- Quoi ? Vous allez me vexer. Vous savez quoi ? Je suis vexé.