Marus Filtranchant
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Marus Filtranchant est un charr qui sert d'avocat aux prisonniers présentés devant le tribunal de la Citadelle noire.
Conversations[modifier]
Si le joueur est un charr[modifier]
Je me prépare à défendre un prisonnier accusé d'être un espion de la Légion de la Flamme, et j'ai besoin d'aiguiser mon plaidoyer devant un public. Vous devriez faire l'affaire.
- Quelles sont les preuves ?
- Il a publiquement suggéré que nous devrions à nouveau être autorisés à adorer les dieux. Et bien qu'il affirme ne pas croire en la divinité de Gaheron Feu-de-Bael, il reste persuadé que les dieux existent.
- Voilà des paroles dangereuses.
- L'accusation soutient que ses idées sont un poison. Notre histoire montre que l'idolâtrie des dieux se paie d'un lourd tribut. Ils craignent que nous ne cédions à nouveau à l'obscurantisme des faux dieux.
- Comment comptez-vous le défendre face à de telles accusations ?'
- Je demanderai au tribunal si notre véritable ennemi est la foi elle-même, ou ceux[sic] se servent d'elle pour nous asservir.
- Comment comptez-vous le défendre face à de telles accusations ?'
- L'accusation soutient que ses idées sont un poison. Notre histoire montre que l'idolâtrie des dieux se paie d'un lourd tribut. Ils craignent que nous ne cédions à nouveau à l'obscurantisme des faux dieux.
- Vous n'êtes pas au bout de vos peines.
- Je dois y aller maintenant.
- Hmmm... Bonne chance.
- Voilà des paroles dangereuses.
- Il a publiquement suggéré que nous devrions à nouveau être autorisés à adorer les dieux. Et bien qu'il affirme ne pas croire en la divinité de Gaheron Feu-de-Bael, il reste persuadé que les dieux existent.
- Pas maintenant. Au revoir.
Si le joueur appartient à une autre race[modifier]
Je me prépare à défendre un prisonnier accusé d'être un espion de la Légion de la Flamme, et j'ai besoin d'aiguiser mon plaidoyer devant un public. Vous devriez faire l'affaire.
- Quel est votre plaidoyer ?
- Je demanderai au tribunal si notre véritable ennemi est la foi elle-même, ou ceux se servent[sic] d'elle pour nous asservir.
- Vous n'êtes pas au bout de vos peines.
- Je demanderai au tribunal si notre véritable ennemi est la foi elle-même, ou ceux se servent[sic] d'elle pour nous asservir.
- Pas maintenant. Au revoir.