Donal Regland
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Donal Regland
- Type
- Allié
- Race
- Humain
- Emplacement
- Canton des gladiums
(La Citadelle noire)
Localisation
Donal Regland est un sans-abri vivant parmi les Charrs dans le Canton des gladiums.
Conversation[modifier]
Vous êtes ce fameux soldat, <Nom de votre personnage>, n'est-ce pas ? Celui qui a terrassé le vieux duc Barradin.
- Vous allez m'en tenir rigueur, l'humain ?
- A vrai dire, je n'affectionne guère les fantômes ascaloniens. Ils ne se contentent pas d'attaquer les Charrs, vous savez ? Adelbern a apporté un fléau sur nous tous.
- Que faites-vous ici, à la Citadelle noire ?
- J'étais marchand, autrefois, avant le cessez-le-feu... j'écoulais des marchandises à Noirfaucon. Lors de ma dernière expédition, j'ai croisé une troupe en patrouille. Si nous avions fui, ils nous auraient massacrés.
- Vous vous êtes donc rendus ?
- Je tiens à la vie. Ils m'ont conduit ici, parmi les gladiums, où je suis resté prisonnier jusqu'à la trêve. Ils m'ont libéré une fois celle-ci conclue.
- Pourquoi ne pas avoir repris votre activité de marchand ?
- Les choses changent. Je vis ici depuis si longtemps que j'en suis venu à admirer l'ingéniosité et l'organisation des habitants de cette ville. Je suis devenu l'apprenti d'un soudeur.
- Une sage décision, Humain. Bonne chance à vous.
- Les choses changent. Je vis ici depuis si longtemps que j'en suis venu à admirer l'ingéniosité et l'organisation des habitants de cette ville. Je suis devenu l'apprenti d'un soudeur.
- Je vois. Merci pour la discussion.
- Pourquoi ne pas avoir repris votre activité de marchand ?
- Je tiens à la vie. Ils m'ont conduit ici, parmi les gladiums, où je suis resté prisonnier jusqu'à la trêve. Ils m'ont libéré une fois celle-ci conclue.
- Je ne vais pas m'échiner à vous faire la leçon. Au revoir.
- Vous vous êtes donc rendus ?
- J'étais marchand, autrefois, avant le cessez-le-feu... j'écoulais des marchandises à Noirfaucon. Lors de ma dernière expédition, j'ai croisé une troupe en patrouille. Si nous avions fui, ils nous auraient massacrés.
- Vous avez la tête bien sur les épaules pour un humain. Combien êtes-vous dans la Citadelle ?
- Nous ne sommes pas nombreux ici. Avez-vous rencontré Al ?
- Al ?
- Il s'appelle Al'cine. Extravagant, certes, mais inoffensif. Il était autrefois soldat à Noirfaucon.
- Un soldat ?
- Son unité s'est retrouvée isolée derrière les lignes ennemies. Ils n'ont plus donné signe de vie pendant des semaines. Et un beau jour, une patrouille est tombée sur Alain. Le seul survivant.
- Alors, qu'est-ce qui vous amène à la Citadelle noire ?
- Mmmh, ce n'est pas du tout suspect. A la prochaine.
- Son unité s'est retrouvée isolée derrière les lignes ennemies. Ils n'ont plus donné signe de vie pendant des semaines. Et un beau jour, une patrouille est tombée sur Alain. Le seul survivant.
- Extravagant ?
- Dire qu'il se leurre est un euphémisme. Il se prend pour l'incarnation d'une légende élonienne. Alors qu'il n'est même pas élonien ! Et probablement pas une légende...
- Comment en est-il arrivé là ?
- Votre aide m'a été très précieuse. Au revoir.
- Dire qu'il se leurre est un euphémisme. Il se prend pour l'incarnation d'une légende élonienne. Alors qu'il n'est même pas élonien ! Et probablement pas une légende...
- Je n'ai pas le temps d'écouter cette histoire. Au revoir.
- Un soldat ?
- Il s'appelle Al'cine. Extravagant, certes, mais inoffensif. Il était autrefois soldat à Noirfaucon.
- Non. Au revoir.
- Al ?
- Nous ne sommes pas nombreux ici. Avez-vous rencontré Al ?
- J'ai changé d'avis. Je m'en vais.
- Que faites-vous ici, à la Citadelle noire ?
- A vrai dire, je n'affectionne guère les fantômes ascaloniens. Ils ne se contentent pas d'attaquer les Charrs, vous savez ? Adelbern a apporté un fléau sur nous tous.
- Je n'ai pas le temps de causer. Au revoir.