Vienathari
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Vienathari est un sylvari vivant à la Citadelle Noire. Il est venu s'installer ici après avoir vu dans son rêve une ville faite entièrement de métal et constamment en mouvement.
Conversation[modifier]
Que chaleur et lumière vous profitent, l'ami ! Je suis Vienathari des Sylvaris. Mais enfin, où ai-je la tête ? Vous l'aviez deviné à mon seul aspect, bien sûr. Que j'étais un Sylvari. Pas que je m'appelais Vienathari. Bigre.
- Vous êtes aussi ingénu qu'un nouveau-né.
- Merci. bref, que puis-je faire pour vous ?
- Que faites-vous à la Citadelle ?
- J'ai vu, en rêve, une ville qui n'arrête jamais de bouger. Une ville entièrement construite en métal. Après beaucoup d'interrogations et de recherches, j'ai trouvé cette Citadelle. C'est époustouflant. Mais tragique.
- Pourquoi trouvez-vous ça tragique ?
- Je trouve révoltante la profusion de végétation qu'on a sacrifiée pour bâtir cette cité. Il en va de même pour le Promontoire divin, mais au moins les Humains remplacent-ils ce qu'ils détruisent, du moins en partie.
- Voilà qui donne à réfléchir. Au revoir.
- Je trouve révoltante la profusion de végétation qu'on a sacrifiée pour bâtir cette cité. Il en va de même pour le Promontoire divin, mais au moins les Humains remplacent-ils ce qu'ils détruisent, du moins en partie.
- Intéressant. À bientôt.
- Pourquoi trouvez-vous ça tragique ?
- J'ai vu, en rêve, une ville qui n'arrête jamais de bouger. Une ville entièrement construite en métal. Après beaucoup d'interrogations et de recherches, j'ai trouvé cette Citadelle. C'est époustouflant. Mais tragique.
- Laissez tomber.
- Que faites-vous à la Citadelle ?
- Merci. bref, que puis-je faire pour vous ?
- C'est un plaisir de faire votre connaissance. Je m'appelle <nom de personnage>.
- J'apprécie votre bonté. J'espère vous revaloir ça. Qu'attendez-vous de moi ?
- Que faites-vous à la Citadelle ? (voir plus haut)
- Je n'ai besoin de rien. Au revoir.
- J'apprécie votre bonté. J'espère vous revaloir ça. Qu'attendez-vous de moi ?
- Vous êtes maître dans l'art d'enfoncer les portes ouvertes, dites-moi.
- Excusez-moi. Je ne suis ici que depuis peu. Cette ville m'impressionne encore un peu.
- Que faites-vous à la Citadelle ? (voir plus haut)
- Surtout, continuez. Au revoir
- Excusez-moi. Je ne suis ici que depuis peu. Cette ville m'impressionne encore un peu.
- Que faites-vous à la Citadelle ? (voir plus haut)
- Bigre. Au revoir.