Vaillant Kol
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Kol le Vaillant est un guerrier ayant obtenu son nom en ayant défendu une caravane contre un large groupe de jotuns. Il se trouve au Point de passage de la Panthère des neiges.
Conversation[modifier]
Quel plaisir de voir un visage aussi avenant. Qu'est ce que le Vaillant Kol peut faire pour vous ?
D'où vous vient ce nom légendaire ?
- J'escortais la caravane d'un marchand qui voulait traverser une vallée encaissée, quand nous fûmes attaqués par des Jotuns.
- Continuez.
- Nous nous battions à un contre dix. Nous étions en infériorité numérique, mais ce fut une bataille aussi extraordinaire que glorieuse. Une bataille dont personne n'émergea vraiment indemne.
- Avez-vous protégé le marchand ?
- Bonjour. Il fut le premier à louer ma vaillance. Quatre d'entre nous quittèrent cette vallée en vie, en comptant le marchand et sa carriole.
J'ai d'autres questions à vous poser.
- Un défi ! Partez devant.
- Quelle est votre arme de prédilection ?
- Quand je veux avoir de l'allonge au combat, j'utilise l'espadon. Mais de vous à moi, rien ne me plaît plus que de me battre à mains nues. Un bon pugilat et la journée est réussie.
- C'est parler en véritable guerrier. Je peux vous poser une autre question ?
À bientôt, alors.
- Quand je veux avoir de l'allonge au combat, j'utilise l'espadon. Mais de vous à moi, rien ne me plaît plus que de me battre à mains nues. Un bon pugilat et la journée est réussie.
- À part faire preuve de bravoure au combat, que faites-vous d'autre ?
- Ah, j'aime jouer de la cornemuse. J'ai composé nombre de mélodies. Si un jour je me fais trop vieux pour la chasse, je serai le meilleur sonneur d'Hoelbrak.
- J'ai une autre question.
- Et c'est sur cette note que je vous laisse.
- Ah, j'aime jouer de la cornemuse. J'ai composé nombre de mélodies. Si un jour je me fais trop vieux pour la chasse, je serai le meilleur sonneur d'Hoelbrak.
- Vous avez sûrement bon nombre de cicatrices.
- Je ne les compte plus. Ma femme adore les cicatrices. A chaque fois que je reviens d'un combat, elle n'a qu'une envie, c'est de voir mes nouvelles blessures.
- J'ai une autre question.
- C'est une bonne chose. Au revoir.
- Je ne les compte plus. Ma femme adore les cicatrices. A chaque fois que je reviens d'un combat, elle n'a qu'une envie, c'est de voir mes nouvelles blessures.
- Je dois m'en aller.
- Un défi ! Partez devant.
- Voilà un conte tout à fait légendaire.
- Bonjour. Il fut le premier à louer ma vaillance. Quatre d'entre nous quittèrent cette vallée en vie, en comptant le marchand et sa carriole.
- Il faut que je vous laisse. Au revoir.
- Nous nous battions à un contre dix. Nous étions en infériorité numérique, mais ce fut une bataille aussi extraordinaire que glorieuse. Une bataille dont personne n'émergea vraiment indemne.
- Je dois partir.
- J'escortais la caravane d'un marchand qui voulait traverser une vallée encaissée, quand nous fûmes attaqués par des Jotuns.
- Puis-je vous poser quelques questions ?
- Un défi ! Partez devant.
- Quelle est votre arme de prédilection ?
- Quand je veux avoir de l'allonge au combat, j'utilise l'espadon. Mais de vous à moi, rien ne me plaît plus que de me battre à mains nues. Un bon pugilat et la journée est réussie.
- C'est parler en véritable guerrier. Je peux vous poser une autre question ?
- À bientôt, alors.
- Quand je veux avoir de l'allonge au combat, j'utilise l'espadon. Mais de vous à moi, rien ne me plaît plus que de me battre à mains nues. Un bon pugilat et la journée est réussie.
- À part faire preuve de bravoure au combat, que faites-vous d'autre ?
- Ah, j'aime jouer de la cornemuse. J'ai composé nombre de mélodies. Si un jour je me fais trop vieux pour la chasse, je serai le meilleur sonneur d'Hoelbrak.
- J'ai une autre question.
- Et c'est sur cette note que je vous laisse.
- Ah, j'aime jouer de la cornemuse. J'ai composé nombre de mélodies. Si un jour je me fais trop vieux pour la chasse, je serai le meilleur sonneur d'Hoelbrak.
- Vous avez sûrement bon nombre de cicatrices.
- Je ne les compte plus. Ma femme adore les cicatrices. A chaque fois que je reviens d'un combat, elle n'a qu'une envie, c'est de voir mes nouvelles blessures.
- J'ai une autre question.
- C'est une bonne chose. Au revoir.
- Je ne les compte plus. Ma femme adore les cicatrices. A chaque fois que je reviens d'un combat, elle n'a qu'une envie, c'est de voir mes nouvelles blessures.
- Je dois m'en aller.
- Un défi ! Partez devant.
- Rien. Je dois vraiment m'en aller.