Journal abîmé de réfugié tengu

Journal abîmé de réfugié tengu

Importer une image

Type

Objet interactif

Type d'objet int.

Journal

Interaction

Lire

Emplacement

Pierre Arborea
(Pierre Arborea)

Contenu d'extension

End of Dragons

Localisation

Ce journal peut être lu en parcourant les Archives des Kestrels.

Lecture

Journal abîmé de réfugié tengu Les Huang commencent à s'inquiéter. Nous nous cachons dans leur grange depuis maintenant sept mois, et les agents du Ministère ont failli nous découvrir une bonne dizaine de fois. La dernière fois, j'ai eu du mal à convaincre Jiki de plonger dans la paille. Il ne comprend pas pourquoi nous devons faire ça. J'ai dû lui pincer le bec pour l'obliger à se taire. Les Huang ont entendu une rumeur sur un groupe de "Kestrels" qui guideraient les Tengus vers en[sic] endroit sûr, ici, à Cantha. Une fois par mois, ils s'arrêtent non loin d'ici pour rassembler des réfugiés. Je ne sais pas comment convaincre Mère, ni comment contraindre les petits à se tenir tranquilles, mais je dois essayer... Nous sommes sur la route depuis trois jours. Nous ne sommes jamais assez discrets au goût du Kestrel, Xiri. Il est sévère et il n'a aucun humour. Jiki s'attire sans cesse des ennuis. Je dois lui rappeler d'écouter le Kestrel, de se déplacer prudemment et de chercher des abris sûrs. Nous ne devons pas nous faire prendre. Nous avons dû abandonner Mère. Elle ne pouvait pas suivre les consignes de Xiri. Son corps est âgé et frêle, et son esprit trop rigide. Elle m'a dit de continuer et de protéger les petits. Elle va me manquer. J'ai tant perdu... mon père, mon Hiori... mais je dois avant tout penser à mes petits. Nous avons atteint notre destination : une ruine kurzick, à Echovald. Au début, j'ai cru qu'elle était déserte, mais en regardant comme le Kestrel nous l'a appris, pour discerner ce qui est normalement indétectable, j'ai réalisé qu'il y avait là des dizaines de Tengus, plus de cent, éparpillés un peu partout dans des recoins calmes. Xiri m'a dit que c'était notre foyer, désormais, pour aussi longtemps qu'il nous plaira, et il s'est adouci. Il nous a dit qu'il était fier de nous, surtout de Jiki, qui est presque devenu une ombre.