Exilé Qindova
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Exilé Qindova
- Race
- Centaure
- Organisation
- Réfugiés de l'Arche du lion
- Emplacement
- Collines vigilantes
(Champs de Gendarran)
L'exilé Qindova est un centaure pacifique qui vivait auparavant à l'Arche du Lion. Il a survécu à l'invasion de l'Arche du Lion par Scarlet Bruyère et a trouvé refuge dans le camp de réfugiés des Collines vigilantes.
Conversation[modifier]
Avant les réfugiés de l'Arche du Lion[modifier]
Si le personnage n'est pas un Humain
- Salutations, <Nom de votre race>. Les Humains vous traitent-ils aussi médiocrement que moi ? Non, j'en doute fort. En quoi un misérable exilé peut-il vous être utile ?
- Tous vous maltraitent ?
- La plupart, mais pas tous. Bien que les tribus m'aient rejeté, je leur évoque par trop un féroce ennemi. Je ne peux guère les en blâmer. Mais d'autres sont plus prompts à comprendre et pardonner.
- Que s'est-il passé ?
- Je compatis. Bonne chance.
- La plupart, mais pas tous. Bien que les tribus m'aient rejeté, je leur évoque par trop un féroce ennemi. Je ne peux guère les en blâmer. Mais d'autres sont plus prompts à comprendre et pardonner.
- A quoi vous attendiez-vous ? Vous êtes ennemis depuis des lustres !
- C'est juste, et j'accepte d'être méprisé sans trop m'en plaindre. Les Humains auront du mal à admettre que je ne suis pas un espion à la solde des tribus.
- Certes. Et donc, quelle est votre histoire ?
- Bonne chance.
- C'est juste, et j'accepte d'être méprisé sans trop m'en plaindre. Les Humains auront du mal à admettre que je ne suis pas un espion à la solde des tribus.
- Hé, au moins vous êtes en vie, n'est-ce pas ?
- Oui, pour l'instant. Et pourtant, ma vie ne tient qu'à un fil.
- Que voulez-vous dire ?
- Eh bien, poursuivez.
- Oui, pour l'instant. Et pourtant, ma vie ne tient qu'à un fil.
- J'aimerais écouter votre histoire, rien de plus.
- J'ai tenté de persuader nos chefs que notre guerre contre les bipèdes finirait par tourner en notre défaveur. Livrer la guerre sur deux fronts a lourdement pesé sur les Humains, mais bientôt, il ne leur restera qu'un seul ennemi à combattre : nous.
- Que voulez-vous dire ?
- Historiquement, les Humains se sont épuisés à combattre sur plusieurs fronts. Mais alors que le traité avec les Charrs est en passe d'être conclu, la donne ne tardera pas à changer.
- Je vois où cela nous mène.
- Forts de la technologie charr, de puissants explosifs et d'engins de siège lourdement cuirassés, les Humains seraient à même de nous détruire.
- C'est un accès de lucidité qui vous a valu l'exil ?
- Ulgoth le Puissant et les siens n'apprécient guère les voix discordantes au sein de la tribu, surtout celle d'un frêle historien. Si je n'avais pas fui, ils m'auraient taillé en pièces.
- Vous voilà donc mieux loti, aujourd'hui.
- Ulgoth le Puissant et les siens n'apprécient guère les voix discordantes au sein de la tribu, surtout celle d'un frêle historien. Si je n'avais pas fui, ils m'auraient taillé en pièces.
- Je ne l'avais pas envisagé sous cet angle. Pas faux.
- C'est un accès de lucidité qui vous a valu l'exil ?
- Forts de la technologie charr, de puissants explosifs et d'engins de siège lourdement cuirassés, les Humains seraient à même de nous détruire.
- C'est bien vu.
- Je vois où cela nous mène.
- Historiquement, les Humains se sont épuisés à combattre sur plusieurs fronts. Mais alors que le traité avec les Charrs est en passe d'être conclu, la donne ne tardera pas à changer.
- Au revoir.
- Que voulez-vous dire ?
- J'ai tenté de persuader nos chefs que notre guerre contre les bipèdes finirait par tourner en notre défaveur. Livrer la guerre sur deux fronts a lourdement pesé sur les Humains, mais bientôt, il ne leur restera qu'un seul ennemi à combattre : nous.
- Intéressante, votre histoire.
- Tous vous maltraitent ?
Si le personnage est un Humain
- Eh bien, bipède, vous venez vous gausser d'un ennemi renié par les siens ? Ma propre tribu m'a tourné en grotesque et renié, au seul motif que je prônais la paix. Et aujourd'hui, voilà où j'en suis.
- Vous n'êtes plus mon ennemi.
- Non. En effet. Une évidence que bien peu acceptent. Je me réjouis que vous ne soyez pas de ceux-là.
- Vous pourriez peut-être me raconter votre histoire ?
- Mais je vous en prie.
- Non. En effet. Une évidence que bien peu acceptent. Je me réjouis que vous ne soyez pas de ceux-là.
- Je devrais vous tuer sur-le-champ, monstre.
- Une menace que je n'ai que trop entendue... Je mérite peut-être votre courroux, mais je me tiens parmi vous, désarmé, et personne n'a encore songé à s'en prendre à moi.
- Très bien. Et que faites-vous donc ici, dans ce cas ?
- Peut-être une autre fois.
- Une menace que je n'ai que trop entendue... Je mérite peut-être votre courroux, mais je me tiens parmi vous, désarmé, et personne n'a encore songé à s'en prendre à moi.
- C'est atroce. Pourquoi en arriver là ?
- Mes idées sur la guerre étaient plutôt mal vues. Et pourtant, je n'avais à cœur que l'intérêt de nos tribus.
- Que voulez-vous dire ?
- C'est immonde. Bonne chance.
- Mes idées sur la guerre étaient plutôt mal vues. Et pourtant, je n'avais à cœur que l'intérêt de nos tribus.
- J'aimerais écouter votre histoire, rien de plus.
- J'ai tenté de persuader nos chefs que notre guerre contre les bipèdes finirait par tourner en notre défaveur. Livrer la guerre sur deux fronts a lourdement pesé sur les Humains, mais bientôt, il ne leur restera qu'un seul ennemi à combattre : nous.
- Et pourtant, les tribus étaient déjà bien en peine de l'emporter...
- Toujours si imbus d'eux-mêmes. Quoi qu'il en soit, avec le traité entre les Charrs et les Humains en passe d'être conclu, les Humains auront tôt fait de mobiliser l'intégralité de leur effort de guerre contre nous.
- En quoi est-ce que cela changerait la donne ?
- Forts de la technologie charr, de puissants explosifs et d'engins de siège lourdement cuirassés, les Humains seraient à même de nous détruire.
- C'est un accès de lucidité qui vous a valu l'exil ?
- Ulgoth le Puissant et les siens n'apprécient guère les voix discordantes au sein de la tribu, surtout celle d'un frêle historien. Si je n'avais pas fui, ils m'auraient taillé en pièces.
- Vous voilà donc mieux loti, aujourd'hui.
- Ulgoth le Puissant et les siens n'apprécient guère les voix discordantes au sein de la tribu, surtout celle d'un frêle historien. Si je n'avais pas fui, ils m'auraient taillé en pièces.
- Je ne l'avais pas envisagé sous cet angle. Pas faux.
- C'est un accès de lucidité qui vous a valu l'exil ?
- Forts de la technologie charr, de puissants explosifs et d'engins de siège lourdement cuirassés, les Humains seraient à même de nous détruire.
- Pas faux.
- En quoi est-ce que cela changerait la donne ?
- Toujours si imbus d'eux-mêmes. Quoi qu'il en soit, avec le traité entre les Charrs et les Humains en passe d'être conclu, les Humains auront tôt fait de mobiliser l'intégralité de leur effort de guerre contre nous.
- Au revoir.
- Et pourtant, les tribus étaient déjà bien en peine de l'emporter...
- J'ai tenté de persuader nos chefs que notre guerre contre les bipèdes finirait par tourner en notre défaveur. Livrer la guerre sur deux fronts a lourdement pesé sur les Humains, mais bientôt, il ne leur restera qu'un seul ennemi à combattre : nous.
- Au revoir.
- Vous n'êtes plus mon ennemi.