Le journal d'Aiden
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Le journal d'Aiden
- Type
- Objet interactif
- Type d'objet int.
- Livre
- Interaction
- Lire
- Emplacement
- Prieuré de Durmand
(Passage de Lornar)
Le livre Le journal d'Aiden est un objet interactif trouvable dans l'instance du Prieuré de Durmand.
Texte[modifier]
Le texte s'est effacé avec le temps, si bien que les courbes et les lignes des glyphes ascaloniens présentent des contours irréguliers. L'annotation d'un érudit indique que ce journal a plus de 200 ans.
- Le lire.
- La vie en ville est étouffante et, pire encore, civilisée. Maisons et boutiques y brisent l'élan du vent. L'air stagnant empeste de l'odeur des animaux en cage. Cette vie-là n'est pas pour moi. Voilà pourquoi je suis devenu rôdeur.
- Lire la suite.
- Quand j'étais jeune, mon père m'envoyait au marché, et j'y allais comme si cétait une punition. Aujourd'hui, quand l'envie me prend, je sillonne à loisir les terres de Kryte. Un fermier bêche, un rôdeur court la plaine.
- Lire la suite.
- Chaque route est la bonne et je suis libre. Je m'élance dans un tourbillon de lames étincelantes. Comme la rivière qui coule, je suis toujours en mouvement, et ne réponds qu'à la loi de la nature prêchant la survie du plus adapté.
- Lire la suite.
- Vous qui lisez ces mots, sans doute longtemps après ma mort, si mes paroles résonnent en votre cœur, venez courir à mes côtés. La route vous attend. Les étendues sauvages vous tendent les bras. Répondez à l'appel, rejoignez-moi.
- Fermer le livre.
- Vous qui lisez ces mots, sans doute longtemps après ma mort, si mes paroles résonnent en votre cœur, venez courir à mes côtés. La route vous attend. Les étendues sauvages vous tendent les bras. Répondez à l'appel, rejoignez-moi.
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- Chaque route est la bonne et je suis libre. Je m'élance dans un tourbillon de lames étincelantes. Comme la rivière qui coule, je suis toujours en mouvement, et ne réponds qu'à la loi de la nature prêchant la survie du plus adapté.
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- Quand j'étais jeune, mon père m'envoyait au marché, et j'y allais comme si cétait une punition. Aujourd'hui, quand l'envie me prend, je sillonne à loisir les terres de Kryte. Un fermier bêche, un rôdeur court la plaine.
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- La vie en ville est étouffante et, pire encore, civilisée. Maisons et boutiques y brisent l'élan du vent. L'air stagnant empeste de l'odeur des animaux en cage. Cette vie-là n'est pas pour moi. Voilà pourquoi je suis devenu rôdeur.
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