Utilisateur:Gorgaan Peaudesang/Conversations à l'Arche du Lion
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- Garde du Lion Quatta
- Ta première patrouille. tu te sens d'attaque ?
- Garde du Lion Brenn Hillow
- L'armure est tellement lourde. Et puis... J'ai oublié l'itinéraire. Je vais... Je peux pas...
- Garde du Lion Quatta
- Arrête de penser à tout ça. Le plus important pour un garde du Lion, c'est d'avoir l'air sûr de soi.
Les gens sont fatigués, apeurés, inquiets. On doit leur montrer que quelqu'un veille sur eux.
S'ils te voient trembler, ils vont tout de suite penser qu'une autre catastrophe les attend.
Garde la tête haute, observe tout, et regarde les gens dans les yeux quand tu leur parles. Le reste viendra tout seul.
Tu es prêt ? - Garde du Lion Brenn Hillow
- (profonde inspiration) Je suis prêt.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Je m'en sors comment ?
- Garde du Lion Quatta
- Pour l'instant, ça va. Et ton armure ?
- Garde du Lion Brenn Hillow
- J'arrive à respirer. L'Arche du Lion a l'air déserte, ces jours-ci. Ça fait bizarre.
- Garde du Lion Quatta
- Ça ne durera pas. La ville renaîtra.
Tu es chanceux, privilégié, même. Tu pourras dire aux enfants de tes enfants que tu as assisté à la renaissance de la ville.
Hé, assez de bavardage. En route.
- Citoyen
- Excusez-moi. J'ai tous mes papiers. Tout a été vérifié lors du recensement, mais la Garde du Lion refuse de me ramener chez moi.
- Garde du Lion Quatta
- Ah, ces citoyens. Pourquoi tu ne t'en chargerais pas, petit ?
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Euh... où est-ce que vous vivez, euh... madame ?
- Citoyen
- Quartier de Posterne. Au sud du Quartier du Vent. Je veux qu'on me ramène chez moi.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Oh, on ne vous a pas dit ? Votre maison... C'est un cimetière, maintenant.
- Citoyen
- Quoi ?
- Garde du Lion Brenn Hillow
- J'étais là, madame, j'étais là durant l'attaque. Le quartier a été dévasté. On déplore de nombreuses victimes. Elles ont été enterrées là.
C'est dangereux, madame. Je ne peux pas vous y emmener. Navré, madame, j'aurais aimé avoir de meilleures nouvelles. - Citoyen
- Je... je vois. Vous êtes bien le premier à faire preuve de franchise. Merci.
- Garde du Lion Quatta
- Franchement, certains citoyens ne font que de se plaindre. ils vont t'user si tu les laisses faire. Peu importe, tu t'es bien débrouillé.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- J'ai bien cru que l'allais vomir.
- Garde du Lion Quatta
- Oh, tu as survécu à Scarlet, et tu as peur de parler à des gens dans la rue ?
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Le simple souvenir de ce jour me rend malade. J'ai vraiment cru que j'allais y passer.
Ce garde du Lion charr, il a surgi de nulle part, il m'a attrapé et il m'a fait sortir de la ville.
Je voulais le remercier, mais il s'était envolé. Il est sans doute allé aider d'autres survivants. - Garde du Lion Quatta
- Quel imbécile...
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Hein ?
- Garde du Lion Quatta
- Ce n'est rien. Allons-y.
- Ferkinna
- Hé, garde du Lion ! Quand est-ce que vous allez mettre fin aux pillages ? J'ai déjà attrapé trois types en train de pénétrer dans ce qu'il reste de ma maison !
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Madame, je vous prie de croire que la Garde du Lion met tout en œuvre pour...
- Garde du Lion Quatta
- Ferkinna ! Comment va ma lanceuse de barils préférée ?
- Ferkinna
- Quatta, espèce de sale petite ivrogne. Je ne t'avais pas vue. C'est qui cet avorton ? On dirait un oiseau tombé du nid.
- Garde du Lion Quatta
- C'est un nouveau. Ne t'en fais pas, il est doué. Alors, les pillards. Votre maison est marquée, c'est ça ?
Je vais mettre une marque jaune. Ça éloignera les pillards, ils penseront que les propriétaires reviennent bientôt.
Ça devrait faire venir les réparateurs plus vite. Vous devriez pouvoir rentrer au prochain cycle lunaire. - Ferkinna
- Merci beaucoup. On se voit plus tard ? J'ai une petite cuvée de vin krait qui ne demande qu'à être ouverte.
- Garde du Lion Quatta
- Du vin krait ? Ça m'a tout l'air d’être une marchandise de contrebande.
(rires) - Ferkinna
- (rires)
- Garde du Lion Quatta
- A la prochaine.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- J'ai pas vraiment brillé là-bas, hein ?
- Garde du Lion Quatta
- Pas vraiment. Que ça te serve de leçon. Il y a toujours un moyen de faire respecter la loi.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Mais envoyer votre amie sur la ligne de front de rénovation ? Qu'est-ce que...
- Garde du Lion Quatta
- Là-bas, on peut toujours s'arranger. Du moment qu'on aide la ville, bien sûr.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Et en quoi aider Ferkinna aide cette ville ?
- Garde du Lion Quatta
- Ferkinna tient un petit commerce, en parallèle. Si tu veux arrondir tes fins de mois... Et bien... Tu peux aller lui rendre quelques services.
Et est-ce que je t'ai dit de poser des questions ? En route.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- (snif) Oh... (tousse). Je crois que je vais être malade.
- Garde du Lion Quatta
- Beurk, et moi qui pensais qu'on ne sentirait pas l'odeur des cadavres avant un bout de temps. J'avais tort. Allez, entre là-dedans.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Entrer où ?
- Garde du Lion Quatta
- Quand un garde du Lion récupère des corps, il reçoit une prime. Entre là-dedans, petit. Montre-toi digne.
Comment ça va là-dedans ? - Garde du Lion Brenn Hillow
- (tousse) Beurk.
- Garde du Lion Quatta
- Ouais, je parie que c'est le genre d'odeur qui reste en travers de la gorge.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Je vois... un, deux, trois Sylvaris et... oh, par les dieux.
Il y a une poche de miasme, énorme. Qu'est-ce qu'on fait ? - Garde du Lion Quatta
- Mince. Adieu ma prime. Rejoins-moi.
Ça ne vaut pas le coup de sortir ces légumes d'ici. - Garde du Lion Brenn Hillow
- Pourquoi on n'essaie pas de récupérer les corps des Sylvaris ?
- Garde du Lion Quatta
- On a des choses plus importantes à faire. Dis-moi, qu'est-ce que tu vois ?
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Un Sylvari. On dirait qu'il essaye de rentrer à la maison.
- Garde du Lion Quatta
- Et nous voici, les gentils gardes du Lion, à risquer nos vies pour aider des pauvres traîtres dans ce genre. Hé, regardez ça.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Mais qu'est-ce que...
- Garde du Lion Quatta
- Hé, toi. Dégage. Maintenant.
- Citoyen
- Je ne bougerai pas d'ici. Je suis perdu et...
- Garde du Lion Quatta
- Oh, je vois clair dans ton jeu. Tu comptes piller cette maison, pas vrai ?
- Citoyen
- Vous faites erreur sur la personne. Je ne suis pas un pillard.
- Garde du Lion Quatta
- Quoi ? Tu n'es pas un quoi ? Répète-moi ça, haut et fort.
- Citoyen
- Un... un pillard !
- Garde du Lion Quatta
- Il a avoué. Attrapez-le !
- Citoyen
- Pitié, ne me faites pas de mal. Je n'ai jamais rien volé de ma vie.
- Garde du Lion Quatta
- Tu étais en repérage. C'était... c'était peut-être ma maison. Tu sais bien que piller est un crime, et tu comptais ignorer la loi.
- Citoyen
- Ma bien-aimée se meurt à cause de Scarlet. J'explorais la ville, à la recherche d'un travail pour acheter un remède.
J'ai entendu parler d'un traitement préparé en secret. C'est très cher. - Garde du Lion Brenn Hillow
- (soupir) Bon sang. Magnus nous en a parlé pendant le briefing de ce matin. Les pauvres gens sont prêts à payer cher pour les remèdes de ces escrocs.
- Garde du Lion Quatta
- La ferme. Qu'est-ce qu'on en sait, ce type est peut-être comme Scarlet, prêt à nous éliminer.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Ce gars est une victime. Il n'allait rien piller du tout.
- Citoyen
- Non ! Non ! Je ne suis pas un pillard. Je ne ferais jamais ça. Vous devez me croire ! Je vous en prie !
- Garde du Lion Quatta
- On a perdu des centaines, des milliers d'hommes. La ville n'est qu'un tombeau ouvert.
- Garde du Lion Brenn Hillow
- Du calme... du calme.
- Garde du Lion Quatta
- Tout ça, c'est à cause de toi et de ton espèce !
- Garde du Lion Brenn Hillow
- J'ai dit : du calme !
Bon, d'accord. Retournons au fort pour tirer ça au clair. - Garde du Lion Quatta
- Tu as de la chance que mon partenaire soit là.
- Citoyen
- Oui, je sais.
- Marchande
- (soupir) Grincelame va se débarrasser de nous.
- Marchand
- Ouais, c'était bouclé au moment où Kiel l'a désigné quartier-maître de la Garde du Lion, pendant la crise.
- Marchande
- Mais ils se détestent ! Pourquoi irait-elle... oh, peu importe.